COSI È LA VITA

COSI È LA VITA

Aldo, Giovanni, Giacomo et Massimo Venier

0h 1min
1998
Story of COSI È LA VITA
COSI È LA VITA

Bancomat est un petit escroc spécialisé dans la falsification des cartes de crédit. Il doit être transféré au tribunal par Giacomo, un policier un brin rêveur, laissé seul par un collègue peu scrupuleux. Giacomo vient de terminer d’écrire son roman Ainsi va la vie et il n’a que cela en tête. Distrait, il laisse traîner un revolver. Bancomat le saisit et prend Giacomo en otage.

Pour Giavanni, un inventeur de jouets, la journée commence mal : on lui vole sa voiture. Il arrête au passage une voiture de police, mais c’est celle de Giacomo et Bancomat. Il se retrouve lui aussi pris en otage.

Les trois hommes en fuite, pourchassés par la police, roulent droit devant eux et une certaine complicité commence à se créer dans l’habitacle.

Sortis comme par miracle de l’explosion de leur voiture, donnés pour morts, ils sont abandonnés à leur destin, ils se réfugient dans un cimetière où ils font la connaissance de Clara, la plus mystérieuse et jolie jeune femme qu’ils aient jamais vue, et par dessus tout, ils deviennent amis.

Chacun essaie de rentrer chez soi, mais des surprises peu agréables les attendent. Et Clara ne leur a pas encore tout dit. Dans la vie, rien n’est vraiment comme il semble…

 

Les défauts du second film (quelques lenteur, des évidences, un brin de maniérisme) sont des véniels par rapport aux qualités, même potentielles, que le trio apporte sainement dans notre cinéma comique : Aldo, Giovanni et Giacomo transportent à l’identique leurs créations du théâtre au cinéma. Et le jeu des stéréotypes est toujours agréable : il démarre avec une séquence de prison type Papillon et finit avec une feuille de papier qui vole au vent comme la plume de Forrest Gump. Pas de doute qu'ici on vise un cinéma plus ambitieux : heureusement, en gardant à l’esprit que le premier commandement du public de AG.G. c’est le rire… Mais je défie quiconque de sortir de ce film sans se poser quelques questions supplémentaires sur le dur métier de vivre.

Maurizio Porro, Il Corriere della sera, 19 décembre 1998

    • COSI È LA VITA

      Bancomat est un petit escroc spécialisé dans la falsification des cartes de crédit. Il doit être transféré au tribunal par Giacomo, un policier un brin rêveur, laissé seul par un collègue peu scrupuleux. Giacomo vient de terminer d’écrire son roman Ainsi va la vie et il n’a que cela en tête. Distrait, il laisse traîner un revolver. Bancomat le saisit et prend Giacomo en otage.

      Pour Giavanni, un inventeur de jouets, la journée commence mal : on lui vole sa voiture. Il arrête au passage une voiture de police, mais c’est celle de Giacomo et Bancomat. Il se retrouve lui aussi pris en otage.

      Les trois hommes en fuite, pourchassés par la police, roulent droit devant eux et une certaine complicité commence à se créer dans l’habitacle.

      Sortis comme par miracle de l’explosion de leur voiture, donnés pour morts, ils sont abandonnés à leur destin, ils se réfugient dans un cimetière où ils font la connaissance de Clara, la plus mystérieuse et jolie jeune femme qu’ils aient jamais vue, et par dessus tout, ils deviennent amis.

      Chacun essaie de rentrer chez soi, mais des surprises peu agréables les attendent. Et Clara ne leur a pas encore tout dit. Dans la vie, rien n’est vraiment comme il semble…

       

      Les défauts du second film (quelques lenteur, des évidences, un brin de maniérisme) sont des véniels par rapport aux qualités, même potentielles, que le trio apporte sainement dans notre cinéma comique : Aldo, Giovanni et Giacomo transportent à l’identique leurs créations du théâtre au cinéma. Et le jeu des stéréotypes est toujours agréable : il démarre avec une séquence de prison type Papillon et finit avec une feuille de papier qui vole au vent comme la plume de Forrest Gump. Pas de doute qu'ici on vise un cinéma plus ambitieux : heureusement, en gardant à l’esprit que le premier commandement du public de AG.G. c’est le rire… Mais je défie quiconque de sortir de ce film sans se poser quelques questions supplémentaires sur le dur métier de vivre.

      Maurizio Porro, Il Corriere della sera, 19 décembre 1998

    • Réalisation
      Aldo, Giovanni, Giacomo et Massimo Venier
    • Scénario
      Aldo Baglio, Giovanni Storti, Giacomo Poretti, Massimo Venier, Gino Vignale, Michele Mozzati, Giorgio Gherarducci et Graziano Ferrari
    • Image
      Giovanni Fiore Coltellacci
    • Montage
      Marco Spoletini
    • Musique
      Negrita
    • Productions
      A.GI.DI. Medusa Film Spa en collaboration avec Kubla Khan Srl,!Rodeo Drive
    • Interprètes
      Aldo Baglio, Giovanni Storti, Giacomo Poretti, Marina Massironi, Antonio Pannofino, Giovanni Cacioppo, Elena Giusti, Carlina Torta, Augusto Zucchi
    • Année
      1998
    • Durée
      1h 33
    • Pays de production
      Italie
    • Format
      VOST
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