Story of GUIDO CHE SFIDÒ LE BRIGATE ROSSE
Gênes pendant les années 1970. La cellule locale des Brigades Rouges tente de pénétrer dans l’usine Italsider, mais elle se heurte au syndicat et tout particulièrement à l’un des dirigeants, Guido Rossa. Pour la première fois dans leur histoire, les BR décident d’éliminer un ouvrier, un syndicaliste. Guido Rossa a été assassiné le 24 janvier 1979. Huit mois après l’assassinat d’Aldo Moro.
Guido Rossa (Massimo Ghini), Roberto Dura (Gianmarco Tognazzi). Le film confronte leurs histoires en les mettant en parallèle, jusqu’au moment fatidique de leur rencontre. Le syndicaliste est suivi pas à pas dans son action constructive sur son lieu de travail. L’activiste, en revanche, essaie d’éroder et de mettre en crise l’ordre démocratique. La confrontation entre les deux modes de vie, les deux idéologies, les deux objectifs joue en faveur de l’ouvrier syndicaliste.
Les spectateurs sont invités à suivre pas à pas de vrais fragments de deux existences antagonistes. Hors de tout moralisme ou paternalisme, il est invité à choisir et à juger. Une leçon d’histoire qui s’adresse surtout aux jeunes générations.
« J’ai voulu donner une démonstration historique de l’incohérence et de l’immaturité des Brigades Rouges. On ne peut pas militer en faveur de la révolution sociale et en même temps tuer l’un de ceux qui militent pour elle. Il s’agit là d’une terrible contradiction qui déplace à droite ce mouvement, une erreur emblématique qui sous-entend l’inimitié pour la classe ouvrière. »
Giuseppe Ferrara
GUIDO CHE SFIDÒ LE BRIGATE ROSSE
Gênes pendant les années 1970. La cellule locale des Brigades Rouges tente de pénétrer dans l’usine Italsider, mais elle se heurte au syndicat et tout particulièrement à l’un des dirigeants, Guido Rossa. Pour la première fois dans leur histoire, les BR décident d’éliminer un ouvrier, un syndicaliste. Guido Rossa a été assassiné le 24 janvier 1979. Huit mois après l’assassinat d’Aldo Moro.
Guido Rossa (Massimo Ghini), Roberto Dura (Gianmarco Tognazzi). Le film confronte leurs histoires en les mettant en parallèle, jusqu’au moment fatidique de leur rencontre. Le syndicaliste est suivi pas à pas dans son action constructive sur son lieu de travail. L’activiste, en revanche, essaie d’éroder et de mettre en crise l’ordre démocratique. La confrontation entre les deux modes de vie, les deux idéologies, les deux objectifs joue en faveur de l’ouvrier syndicaliste.
Les spectateurs sont invités à suivre pas à pas de vrais fragments de deux existences antagonistes. Hors de tout moralisme ou paternalisme, il est invité à choisir et à juger. Une leçon d’histoire qui s’adresse surtout aux jeunes générations.
« J’ai voulu donner une démonstration historique de l’incohérence et de l’immaturité des Brigades Rouges. On ne peut pas militer en faveur de la révolution sociale et en même temps tuer l’un de ceux qui militent pour elle. Il s’agit là d’une terrible contradiction qui déplace à droite ce mouvement, une erreur emblématique qui sous-entend l’inimitié pour la classe ouvrière. »
Giuseppe Ferrara
- RéalisationGiuseppe Ferrara
- ScénarioGiuseppe Ferrara, Heidrun Schleef, Daniele Aliprandi
- ImageRiccardo Gambaccian
- MontageAdriano Tagliavia
- MusiquePino Donaggio
- Producteur (s)Giuseppe Ferrara, Carmine de Benedettis
- ProductionsSistina Cinematografica, L’occhio di Genova, Nuova Cooperativa Doppiaggio, avec la collaboration de l’École de Cinéma SDAC de Gênes
- InterprètesMassimo Ghini, Gian Marco Tognazzi, Anna Galiena, Corrado Invernizzi, Giulio Buccolieri, Maria Rosaria Omaggio, Elvira Giannini, Mattia Sbragia
- Année2007
- Durée1h 42
- Pays de productionItalie
- FormatVOST
- CitationSelon moi, il faut l’éliminer, comme tous les traîtres