Story of IL MIO MIGLIOR NEMICO
Achille est un homme comblé. Il a fait un beau mariage qui lui vaut une belle situation : il dirige un grand hôtel qui appartient à sa femme et à son beau-frère. La grande fête qu’il entend donner à l’occasion de ses noces d’argent attestera sa réussite.
Orfeo est un grand adolescent. Il habite avec sa mère, Annarita, dans un quartier populaire de Rome. Il vit au jour le jour, il collectionne les petits boulots sans cultiver de grandes ambitions. Il s’occupe bien de sa mère, une femme instable, qui alterne des périodes d’euphorie et de dépression.
Annarita est femme de chambre dans l’hôtel d’Achille. Un beau jour un ordinateur disparaît et tous les soupçons convergent vers elle. Achille la licencie.
Orfeo est convaincu que sa mère n’est pas coupable. Il va plaider sa cause, mais Achille ne veut rien entendre. Orfeo lui déclare une guerre sans merci ; il est prêt à tout pour venger sa mère. Dès lors, appareil photo en bandoulière, il traque Achille pour découvrir ses points faibles afin de lui pourrir la vie. Et il y arrive fort bien. Ce qu’Orfeo n’avait pas prévu, c’est qu’il rencontrerait la jolie Cecilia dont il tomberait amoureux. Or, Cecilia est la fille d’Achille… mais Orfeo le découvre trop tard, lorsqu’il a fait éclater un scandale.
Terriblement blessée, Cecilia s’enfuit. Achille part à sa recherche… en compagnie de la seule personne qui puisse l’aider : Orfeo.
Ce film va plaire à tous ceux qui ont aimé la comédie à l’italienne quand elle était à son apogée et qui ont passé les années suivantes à regretter l’absence de cinéastes capables de retrouver la formule alchimique des grands classiques (des histoires tristes, angoissantes même, racontées sur le ton de la facétie).
Vingt six ans et vingt films après ses débuts Verdone semble y parvenir. Dans les films français, les personnages du type d’Achille sont des tueurs (Le couperet, L’adversaire), en Angleterre, des individus tels qu’Orfeo se foutent en l’air par la drogue (Trainspotting)
IL MIO MIGLIOR NEMICO
(MON MEILLEUR ENNEMI)
Achille est un homme comblé. Il a fait un beau mariage qui lui vaut une belle situation : il dirige un grand hôtel qui appartient à sa femme et à son beau-frère. La grande fête qu’il entend donner à l’occasion de ses noces d’argent attestera sa réussite.
Orfeo est un grand adolescent. Il habite avec sa mère, Annarita, dans un quartier populaire de Rome. Il vit au jour le jour, il collectionne les petits boulots sans cultiver de grandes ambitions. Il s’occupe bien de sa mère, une femme instable, qui alterne des périodes d’euphorie et de dépression.
Annarita est femme de chambre dans l’hôtel d’Achille. Un beau jour un ordinateur disparaît et tous les soupçons convergent vers elle. Achille la licencie.
Orfeo est convaincu que sa mère n’est pas coupable. Il va plaider sa cause, mais Achille ne veut rien entendre. Orfeo lui déclare une guerre sans merci ; il est prêt à tout pour venger sa mère. Dès lors, appareil photo en bandoulière, il traque Achille pour découvrir ses points faibles afin de lui pourrir la vie. Et il y arrive fort bien. Ce qu’Orfeo n’avait pas prévu, c’est qu’il rencontrerait la jolie Cecilia dont il tomberait amoureux. Or, Cecilia est la fille d’Achille… mais Orfeo le découvre trop tard, lorsqu’il a fait éclater un scandale.
Terriblement blessée, Cecilia s’enfuit. Achille part à sa recherche… en compagnie de la seule personne qui puisse l’aider : Orfeo.
Ce film va plaire à tous ceux qui ont aimé la comédie à l’italienne quand elle était à son apogée et qui ont passé les années suivantes à regretter l’absence de cinéastes capables de retrouver la formule alchimique des grands classiques (des histoires tristes, angoissantes même, racontées sur le ton de la facétie).
Vingt six ans et vingt films après ses débuts Verdone semble y parvenir. Dans les films français, les personnages du type d’Achille sont des tueurs (Le couperet, L’adversaire), en Angleterre, des individus tels qu’Orfeo se foutent en l’air par la drogue (Trainspotting)
L’email a bien été copiéLe film a été présenté dans plusieurs festivals en France, après Villerupt. En 2007, au festival du film de comédie de l'Alpe d'Huez, et au festival de cinéma italien de Bastia, Mon meilleur ennemi a été récompensé par le Prix du Public.
- RéalisationCarlo Verdone
- ScénarioCarlo Verdone, Silvio Muccino, Pasquale Plastino, Silvia Ranfagni
- ImageDanilo Desideri
- MontageClaudio Di Mauro
- MusiquePaolo Buonvino
- Producteur (s)Aurelio De Laurentiis
- ProductionsFilmauro
- Vente à l’étrangerFilmauro
- InterprètesCarlo Verdone, Silvio Muccino, Ana Caterina Moriaru, Agnese Nano, Paolo Triestino, Corinne Jiga, Sara Bertelà, Leonardo Petrillo
- Année2006
- Durée1h 55
- Pays de productionItalie
- FormatVOST
- CitationParfois il faut tout perdre avant de comprendre ce qui est vraiment important