IQBAL, BAMBINI SENZA PAURA

IQBAL, BAMBINI SENZA PAURA

IQBAL, L'ENFANT QUI N’AVAIT PAS PEUR

Story of IQBAL, BAMBINI SENZA PAURA
IQBAL, BAMBINI SENZA PAURA IQBAL, L'ENFANT QUI N’AVAIT PAS PEUR

Iqbal est un petit garçon espiègle et joyeux qui passe son temps entre les jeux avec ses copains, sa petite chèvre adorable et ses superbes dessins.

Un jour, tout change. Son frère tombe gravement malade et il lui faut des médicaments coûteux, trop coûteux. Croyant bien faire, Iqbal attend la nuit pour s’éclipser vers la ville. Là il se retrouve pris au piège par Guzman, un marchand de tapis peu scrupuleux qui maintient des enfants en captivité dans un atelier de tapis à l’écart de la ville. Avec ses compagnons d’infortune, Iqbal est obligé de travailler sans répit. Bientôt Iqbal comprend que quelles que soient les promesses de Guzman les enfants ne sortiront jamais de cet atelier. Lorsqu'il découvre une ouverture dans le toit, il s’échappe et retrouve sa chèvre qui l’avait suivi jusqu’à l’atelier. Il arrive à la ville où il convainc des renforts de venir l’aider à libérer ses compagnons.

 

« C’était la première fois que l’on me proposait de mettre en scène un dessin animé adapté d’une histoire vraie. L’histoire, racontée dans le roman de Francesco d’Adamo Iqbal, un enfant contre l’esclavage, s’inspire de la vie d’un jeune garçon exceptionnel devenu un symbole mondial de la lutte contre l’exploitation du travail des enfants, le petit Pakistanais Iqbal Masih.

Mais il y a des enfants exploités ailleurs qu’au Pakistan. Ceux-ci sont malheureusement une réalité? quotidienne du monde entier car l’esclavagisme moderne n’est plus limité aux pays défavorisés de la planète : il prospère de façon incroyable dans notre monde occidental soi-disant voué au progrès.

Face à ce fléau, j’ai ressenti cette proposition comme un impératif éthique : raconter aux jeunes générations la situation de millions d’enfants de par le monde.

Notre intention n’étant pas de faire un documentaire, mais de raconter une histoire pouvant toucher un jeune public, il était important selon moi de donner au film un caractère universel et pour ce faire de le transplanter sous forme de fable dans un pays imaginaire. Car notre but n’est pas de dénoncer telle ou telle culture, mais de raconter aux jeunes l’histoire d’un enfant prodige, un petit paysan qui comprend tout seul l’immoralité de l’exploitation des enfants et dénonce les pratiques odieuses et malheureusement universelles de la société des adultes.

Le réalisateur iranien Babak Payami a apporté des informations précieuses tout en m’aidant en phase d’écriture à  éviter les clichés habituels des films occidentaux qui se situent en Orient. »

Michel Fuzellier, Dossier de presse

 

Michel Fuzelier s'installe en 1963 à Milan où il débute sa carrière dans des studios d'animation. Il réalise l'animation et les effets spéciaux de Volere volare (1991) et de Luna e l'altra (1996) de Maurizio Nichetti. De La freccia azzurra (1996) à Pinocchio (2013) il a collaboré à tous les films d'Enzo D'Alò.

Diplômé de l'Université de cinéma de Toronto, Babak Payami, après vingt ans d'absence, est retourné en Iran où il a réalisé trois longs-métrages. En 2003, les autorités iraniennes lui ont confisqué les négatifs de Silence between two thoughts.

    • IQBAL, BAMBINI SENZA PAURA

      IQBAL, L'ENFANT QUI N’AVAIT PAS PEUR

      Iqbal est un petit garçon espiègle et joyeux qui passe son temps entre les jeux avec ses copains, sa petite chèvre adorable et ses superbes dessins.

      Un jour, tout change. Son frère tombe gravement malade et il lui faut des médicaments coûteux, trop coûteux. Croyant bien faire, Iqbal attend la nuit pour s’éclipser vers la ville. Là il se retrouve pris au piège par Guzman, un marchand de tapis peu scrupuleux qui maintient des enfants en captivité dans un atelier de tapis à l’écart de la ville. Avec ses compagnons d’infortune, Iqbal est obligé de travailler sans répit. Bientôt Iqbal comprend que quelles que soient les promesses de Guzman les enfants ne sortiront jamais de cet atelier. Lorsqu'il découvre une ouverture dans le toit, il s’échappe et retrouve sa chèvre qui l’avait suivi jusqu’à l’atelier. Il arrive à la ville où il convainc des renforts de venir l’aider à libérer ses compagnons.

       

      « C’était la première fois que l’on me proposait de mettre en scène un dessin animé adapté d’une histoire vraie. L’histoire, racontée dans le roman de Francesco d’Adamo Iqbal, un enfant contre l’esclavage, s’inspire de la vie d’un jeune garçon exceptionnel devenu un symbole mondial de la lutte contre l’exploitation du travail des enfants, le petit Pakistanais Iqbal Masih.

      Mais il y a des enfants exploités ailleurs qu’au Pakistan. Ceux-ci sont malheureusement une réalité? quotidienne du monde entier car l’esclavagisme moderne n’est plus limité aux pays défavorisés de la planète : il prospère de façon incroyable dans notre monde occidental soi-disant voué au progrès.

      Face à ce fléau, j’ai ressenti cette proposition comme un impératif éthique : raconter aux jeunes générations la situation de millions d’enfants de par le monde.

      Notre intention n’étant pas de faire un documentaire, mais de raconter une histoire pouvant toucher un jeune public, il était important selon moi de donner au film un caractère universel et pour ce faire de le transplanter sous forme de fable dans un pays imaginaire. Car notre but n’est pas de dénoncer telle ou telle culture, mais de raconter aux jeunes l’histoire d’un enfant prodige, un petit paysan qui comprend tout seul l’immoralité de l’exploitation des enfants et dénonce les pratiques odieuses et malheureusement universelles de la société des adultes.

      Le réalisateur iranien Babak Payami a apporté des informations précieuses tout en m’aidant en phase d’écriture à  éviter les clichés habituels des films occidentaux qui se situent en Orient. »

      Michel Fuzellier, Dossier de presse

       

      Michel Fuzelier s'installe en 1963 à Milan où il débute sa carrière dans des studios d'animation. Il réalise l'animation et les effets spéciaux de Volere volare (1991) et de Luna e l'altra (1996) de Maurizio Nichetti. De La freccia azzurra (1996) à Pinocchio (2013) il a collaboré à tous les films d'Enzo D'Alò.

      Diplômé de l'Université de cinéma de Toronto, Babak Payami, après vingt ans d'absence, est retourné en Iran où il a réalisé trois longs-métrages. En 2003, les autorités iraniennes lui ont confisqué les négatifs de Silence between two thoughts.

    • Réalisation
      Michel Fuzelier, Babak Payami
    • Scénario
      Paolo Bonaldi, Lara Fremder, Michel Fuzellier, Babak Payami, d'après le roman
    • Montage
      Giacomo Manzotti
    • Musique
      Patrizio Fariselli, Carlo Boccadoro
    • Producteur (s)
      Franco et Fulvia Serra, Malika Brahmi, Florent Mounier, Renaud Delourme
    • Productions
      Gertie, 2d3D Animations, Montparnasse Productions, avec la contribution du MiBACT et du CNC, avec le soutien du programme MEDIA de l'Union Européenne, UNICEF Italie, UNICEF France
    • Distribution France
      Eurozoom
    • Interprètes
      Création des personnages : Michel Fuzellier, Chiara Molinari, Serge Elissalde
    • Année
      2015
    • Durée
      1h 20
    • Pays de production
      Italie, France
    • Format
      VF
    • Citation
      On n’est pas ici pour raconter des histoires ! Ici on fait des tapis ! Au travail !
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