Story of LA PAZZA GIOIA
Considérées comme socialement dangereuses, Beatrice (Valeria Bruni Tedeschi) et Donatella (Micaela Ramazzotti) sont deux femmes que la vie a brisées. La première est une bavarde excessive soi-disant comtesse, la seconde fragile et introvertie porte un douloureux secret. Un après-midi, un peu par hasard, elles fuguent de leur centre de soins pour femmes présentant des troubles psychiatriques. Elles se retrouvent livrées à elles-mêmes dans le monde des gens "normaux". Commence alors une longue virée euphorique et touchante où ces deux femmes diamétralement opposées se lient d’amitié et décident de profiter pleinement du bonheur qui s’offre à elles.
« Nous voulions raconter l’injustice, l’abus, le supplice des personnes fragiles, des femmes stigmatisées, désespérées, condamnées, recluses. Sans pour autant faire du film un pamphlet, un documentaire accusateur. Il y en a déjà un certain nombre, excellents au demeurant. Dans la construction, nous voulions des touches de bonheur, ou du moins de joie, d’excitation vitale, même dans les scènes d’enfermement thérapeutique. Peut-on sourire ou tout simplement rire en racontant la douleur, ou est-ce quelque chose d’impudique et de scandaleux ? J’espère que c’est possible, parce que c’est ce que je préfère dans un film. Au fond c’est la seule chose qui m’intéresse. »
Paolo Virzì,Dossier de presse
Scénariste, réalisateur et producteur, Paolo Virzì est considéré à la fois comme l’un des héritiers et des innovateurs de la comédie à l’italienne. Ses dix premiers films, de La bella vita (1994) à Tutti i santi giorni (2012) mêlent rire et amertume. Avec Il capitale umano il avait changé de genre et de style tout en gardant le mordant qui le caractérise.
LA PAZZA GIOIA
FOLLES DE JOIE
Considérées comme socialement dangereuses, Beatrice (Valeria Bruni Tedeschi) et Donatella (Micaela Ramazzotti) sont deux femmes que la vie a brisées. La première est une bavarde excessive soi-disant comtesse, la seconde fragile et introvertie porte un douloureux secret. Un après-midi, un peu par hasard, elles fuguent de leur centre de soins pour femmes présentant des troubles psychiatriques. Elles se retrouvent livrées à elles-mêmes dans le monde des gens "normaux". Commence alors une longue virée euphorique et touchante où ces deux femmes diamétralement opposées se lient d’amitié et décident de profiter pleinement du bonheur qui s’offre à elles.
« Nous voulions raconter l’injustice, l’abus, le supplice des personnes fragiles, des femmes stigmatisées, désespérées, condamnées, recluses. Sans pour autant faire du film un pamphlet, un documentaire accusateur. Il y en a déjà un certain nombre, excellents au demeurant. Dans la construction, nous voulions des touches de bonheur, ou du moins de joie, d’excitation vitale, même dans les scènes d’enfermement thérapeutique. Peut-on sourire ou tout simplement rire en racontant la douleur, ou est-ce quelque chose d’impudique et de scandaleux ? J’espère que c’est possible, parce que c’est ce que je préfère dans un film. Au fond c’est la seule chose qui m’intéresse. »
Paolo Virzì,Dossier de presse
Scénariste, réalisateur et producteur, Paolo Virzì est considéré à la fois comme l’un des héritiers et des innovateurs de la comédie à l’italienne. Ses dix premiers films, de La bella vita (1994) à Tutti i santi giorni (2012) mêlent rire et amertume. Avec Il capitale umano il avait changé de genre et de style tout en gardant le mordant qui le caractérise.
- RéalisationPaolo Virzì
- ScénarioFrancesca Archibugi, Paolo Virzì
- ImageVladan Radovic
- MontageCecilia Zanuso
- MusiqueCarlo Virzì
- Producteur (s)Marco Belardi Philippe Gompel
- ProductionsLotus Production, Rai Cinema, Manny Films, avec la contribution du MiBACT
- Distribution FranceBac Films Distribution
- InterprètesValeria Bruni Tedeschi, Micaela Ramazzotti, Valentina Carnelutti, Tommaso Ragno, Bob Messini
- Année2016
- Durée1h 58
- Pays de productionItalie, France
- FormatVOST
- CitationMais tu ne peux pas trouver un carnet pour écrire ces choses au lieu de te les tatouer ?