LATIN LOVER

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Cristina Comencini

Story of LATIN LOVER
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À San Vito dei Normanni, petite ville des Pouilles, on veut célébrer dignement le grand comédien Saverio Crispo, originaire du lieu, disparu dix ans auparavant : projections, conférences, pose d’une plaque commémorative… Saverio  (Francesco Scianna) a aussi été un grand séducteur qui a eu cinq filles (et peut-être plus) de cinq femmes de nationalités différentes. C’est dans la maison de Rita (Virna Lisi), la première, qui vit avec sa fille Susanna (Angela Finocchiaro) qu’arrivent les autres filles, Stéphanie (Valeria Bruni Tedeschi) et Solveig (Pilha Vlitala), toutes deux comédiennes, Segunda (Candela Peña), avec son mari, ses enfants et sa mère Ramona (Marisa Paredes).

Entre les filles commence une joute aux souvenirs, chacune revendiquant sa part de l’héritage spirituel et affectif de leur père. Les relations sont tendues aussi entre les deux veuves et Stéphanie et Solveig, dont les mères sont coupables de leur avoir volé Saverio. Au fil des conversations et des affrontements tous les non-dits et les rancœurs affleurent et l’image de Saverio se recompose sous leurs yeux.

 

« Au centre de mon film il y a la quête d’une nouvelle identité féminine, hors du conflit entre femmes, la découverte de la liberté d’être soi, comme le dit Marisa Parades dans une scène fondamentale, libérées du regard masculin. Toutes ces thématiques et ces aspects sont incarnés par des interprètes européens extraordinaires. Pendant le tournage la reconstruction de fragments de films de jadis a été passionnante. Toute la troupe était prise d’une étrange excitation et s’amusait énormément. Le passage de ces scènes à celles entre les filles, les femmes, leur fragilité, leurs conflits, leur dépendance, m’a fait prendre la juste mesure de la différence entre ce cinéma-là et celui que nous faisons. J’ai aussi réalisé que pour recueillir cet héritage, nous devons forcer le trait et ne pas avoir peur de raconter tout aussi librement notre modernité plus complexe et ambivalente. »

Cristina Comencini, Dossier de presse

 

    • LATIN LOVER

      À San Vito dei Normanni, petite ville des Pouilles, on veut célébrer dignement le grand comédien Saverio Crispo, originaire du lieu, disparu dix ans auparavant : projections, conférences, pose d’une plaque commémorative… Saverio  (Francesco Scianna) a aussi été un grand séducteur qui a eu cinq filles (et peut-être plus) de cinq femmes de nationalités différentes. C’est dans la maison de Rita (Virna Lisi), la première, qui vit avec sa fille Susanna (Angela Finocchiaro) qu’arrivent les autres filles, Stéphanie (Valeria Bruni Tedeschi) et Solveig (Pilha Vlitala), toutes deux comédiennes, Segunda (Candela Peña), avec son mari, ses enfants et sa mère Ramona (Marisa Paredes).

      Entre les filles commence une joute aux souvenirs, chacune revendiquant sa part de l’héritage spirituel et affectif de leur père. Les relations sont tendues aussi entre les deux veuves et Stéphanie et Solveig, dont les mères sont coupables de leur avoir volé Saverio. Au fil des conversations et des affrontements tous les non-dits et les rancœurs affleurent et l’image de Saverio se recompose sous leurs yeux.

       

      « Au centre de mon film il y a la quête d’une nouvelle identité féminine, hors du conflit entre femmes, la découverte de la liberté d’être soi, comme le dit Marisa Parades dans une scène fondamentale, libérées du regard masculin. Toutes ces thématiques et ces aspects sont incarnés par des interprètes européens extraordinaires. Pendant le tournage la reconstruction de fragments de films de jadis a été passionnante. Toute la troupe était prise d’une étrange excitation et s’amusait énormément. Le passage de ces scènes à celles entre les filles, les femmes, leur fragilité, leurs conflits, leur dépendance, m’a fait prendre la juste mesure de la différence entre ce cinéma-là et celui que nous faisons. J’ai aussi réalisé que pour recueillir cet héritage, nous devons forcer le trait et ne pas avoir peur de raconter tout aussi librement notre modernité plus complexe et ambivalente. »

      Cristina Comencini, Dossier de presse

       

    • Réalisation
      Cristina Comencini
    • Scénario
      Cristina Comencini, Giulia Calenda
    • Image
      Italo Petriccione
    • Montage
      Francesca Calvelli
    • Musique
      Andrea Farri
    • Producteur (s)
      Lionello Cerri
    • Productions
      Lumière & Co, Rai Cinema, avec la contribution du MiBACT et le soutien d'Apulia Film Commission
    • Vente à l’étranger
      Rai Com
    • Interprètes
      Angela Finocchiaro, Valeria Bruni Tedeschi, Virna Lisi, Marisa Parades, Neri Marcorè, Francesco Scianna, Candela Peña, Jordi Mollà, Lluis Homar, Pihla Viitala, Toni Bertorelli, Claudio Gioè, Cecilia Zingro, Ippolito Chiarello
    • Année
      2015
    • Durée
      1h 44
    • Pays de production
      Italie
    • Format
      VOST
    • Citation
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