Story of L’UOMO CHE VERRÀ
Hiver 1943. L’Italie est coupée en deux depuis l’armistice signé en septembre par le Maréchal Badoglio. La fuite du Roi et du gouvernement laisse le centre et le nord de la péninsule aux mains des Allemands et des fascistes de la République de Salò. Dans les contreforts des Apennins, non loin de Bologne, sur les flancs du Monte Sole, trois générations d'une humble famille de paysans cohabitent. Martina (Greta Zuccheri Montanari), 8 ans, est muette depuis qu'elle a vu son petit frère mourir dans ses bras. Mais vive et délurée, elle voit tout et devine bien des choses. Voilà que sa mère (Maya Sansa) est de nouveau enceinte et Martina vit dans l'attente de l'enfant qui va naître. Pendant ce temps la guerre se rapproche, les Allemands et les fascistes reculent devant l’irrésistible avancée des alliés. Dans la région il y a aussi les brigades partisanes qui mènent sans relâche des actions de guérilla. Dans la nuit du 28 au 29 septembre 1944 l'enfant vient finalement au monde. Presque simultanément les SS effectuent dans le secteur un ratissage sans précédent, qui passera à l'histoire comme le massacre de Marzabotto.
« L’uomo che verrà veut être un film sur la guerre vue en contre-plongée, du point de vue de ceux qui la subissent et se trouvent impliqués malgré eux dans les grands événements de l'histoire qui semblent ignorer les vies des hommes. […]
La reconstruction des événements met au premier plan une communauté qui, au-delà des épisodes liés aux formations partisanes, oppose à la tyrannie nazi une résistance que Don Giuseppe Dossetti définit dans son introduction au livre Le querce di Monte Sole (Les chênes de Monte Sole) de Monseigneur Luciano Gherardi, comme "avant tout une attitude morale, une révolte intérieure contre toute prévarication, toute violence érigée en système, toute injustice, tout chantage. C’est une affirmation tenace des droits de l'homme, de chaque homme, de volonté de paix dans la liberté ; un témoignage de solidarité humaine au-dessus de toute discrimination ; un défi de l'amour à la haine, de la foi au désespoir, de la vie à la mort". »
Giorgio Diritti, Dossier de presse
L'UOMO CHE VERRÀ
L'HOMME QUI VIENDRA
Hiver 1943. L’Italie est coupée en deux depuis l’armistice signé en septembre par le Maréchal Badoglio. La fuite du Roi et du gouvernement laisse le centre et le nord de la péninsule aux mains des Allemands et des fascistes de la République de Salò. Dans les contreforts des Apennins, non loin de Bologne, sur les flancs du Monte Sole, trois générations d'une humble famille de paysans cohabitent. Martina (Greta Zuccheri Montanari), 8 ans, est muette depuis qu'elle a vu son petit frère mourir dans ses bras. Mais vive et délurée, elle voit tout et devine bien des choses. Voilà que sa mère (Maya Sansa) est de nouveau enceinte et Martina vit dans l'attente de l'enfant qui va naître. Pendant ce temps la guerre se rapproche, les Allemands et les fascistes reculent devant l’irrésistible avancée des alliés. Dans la région il y a aussi les brigades partisanes qui mènent sans relâche des actions de guérilla. Dans la nuit du 28 au 29 septembre 1944 l'enfant vient finalement au monde. Presque simultanément les SS effectuent dans le secteur un ratissage sans précédent, qui passera à l'histoire comme le massacre de Marzabotto.
« L’uomo che verrà veut être un film sur la guerre vue en contre-plongée, du point de vue de ceux qui la subissent et se trouvent impliqués malgré eux dans les grands événements de l'histoire qui semblent ignorer les vies des hommes. […]
La reconstruction des événements met au premier plan une communauté qui, au-delà des épisodes liés aux formations partisanes, oppose à la tyrannie nazi une résistance que Don Giuseppe Dossetti définit dans son introduction au livre Le querce di Monte Sole (Les chênes de Monte Sole) de Monseigneur Luciano Gherardi, comme "avant tout une attitude morale, une révolte intérieure contre toute prévarication, toute violence érigée en système, toute injustice, tout chantage. C’est une affirmation tenace des droits de l'homme, de chaque homme, de volonté de paix dans la liberté ; un témoignage de solidarité humaine au-dessus de toute discrimination ; un défi de l'amour à la haine, de la foi au désespoir, de la vie à la mort". »
Giorgio Diritti, Dossier de presse
Giorgio Diritti (Bologne, 1959) commence sa carrière en 1990 par un court-métrage Cappello da marinaio. Suivent des documentaires dont, en 2002, Con i miei occhi. En 2005 il signe son premier long-métrage de fiction, Il vento fa il suo giro puis L'uomo che verrà en 2009 et Un giorno devi andare en 2013.
- RéalisationGiorgio Diritti
- ScénarioGiorgio Diritti, Giovanni Galavotti, Tania Pedroni
- ImageRoberto Cimatti
- MontageGiorgio Diritti, Paolo Marzoni
- MusiqueMarco Biscarini, Daniele Furlati
- Producteur (s)Giorgio Diritti, Simone Bachini
- ProductionsAranciafilm, Rai Cinema avec la contribution du MiBACT, en collaboration avec la Cineteca di Bologna, avec le soutien de Regione Emilia Romagna et Toscana Film Commission
- Distribution FranceWhite Pictures
- InterprètesMaya Sansa, Alba Rohrwacher, Claudio Casadio, Greta Zuccheri Montanari, Eleonora Mazzoni, Bernardo Bolognesi, Stefano Bicocchi, Orfeo Orlando, Diego Pagotto
- Année2009
- Durée1h 55
- Pays de productionItalie
- FormatVOST
- CitationNe pense pas aux dettes autrement les vendanges se passeront mal. C’est la façon de faire qui change les choses.