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NIRVANA

NIRVANA

Gabriele Salvatores

0h 1min
1997
Story of NIRVANA
NIRVANA Décembre 2005. Seul dans son appartement Jimi contemple la neige qui tombe sur la grande ville du nord de l'Italie. Cela va faire un an que Lisa l'a quitté et il ne s'en est pas remis. Noël approche et c'est à cette date que doit sortir "Nirvana" sa dernière création que le monde entier attend. Car Jimi est un concepteur génial de jeux vidéos et il travaille pour la multinationale Okosama Starr. Mais Jimi n'a pas le moral. Solo non plus. Solo, c'est son personnage, le protagoniste de "Nirvana". Il s'est aperçu qu'il n'est qu'un personnage virtuel, dont l'action se limite à un certain nombre de scénarios préétablis qui s'achèvent inéluctablement par sa mort. Solo implore son créateur de le libérer. C'est-à-dire de détruire le jeu. L'idée est séduisante, mais la mettre en œuvre n'est pas simple. Il faudrait pénétrer dans la banque de données de la multinationale et elle est bien gardée. Jimi contacte Joystick, un hacker génial, ami de Lisa. Pénétrer les ordinateurs les mieux protégés est son passe-temps favori. Tous deux se lancent à l'assaut de la multinationale, avec des hordes de policiers à leurs trousses. Leur voyage nous fait découvrir un monde de misère et de précarité, de ghettos, qui ressemble étrange­ment à certaines tendances de notre présent.   "... Contraint par son budget à une stylisation de bon aloi, Gabriele Salvatores, dont les précédentes réalisations ne laissaient guère transparaître un goût frivole pour la science-fiction, a réalisé un film qui fonctionne sur diverses idées 'modernistes'. Celles-ci — la réalité virtuelle, la programmation, l'intelligence artificielle, etc. — sont utilisées comme trucs à la mode et non pour leur potentiel de réflexion. Mais la vitesse du récit parvient à maintenir l'intérêt du spectateur. Le personnage incarné par Sergio Rubini, loser servant de guide au héros et qui s'est fait greffer des caméras à la place des yeux, rappelle les prestations démentes d'un Thomas Million (vedette géniale du cinéma de genre italien des années 70). Il introduit une note de trivialité réjouissante qui confirme que tout cela n 'est pas pris au sérieux... " Jean-François Ranger,Le Monde, 15 mai 1997
    • NIRVANA

      Décembre 2005. Seul dans son appartement Jimi contemple la neige qui tombe sur la grande ville du nord de l'Italie. Cela va faire un an que Lisa l'a quitté et il ne s'en est pas remis. Noël approche et c'est à cette date que doit sortir "Nirvana" sa dernière création que le monde entier attend. Car Jimi est un concepteur génial de jeux vidéos et il travaille pour la multinationale Okosama Starr. Mais Jimi n'a pas le moral.

      Solo non plus. Solo, c'est son personnage, le protagoniste de "Nirvana". Il s'est aperçu qu'il n'est qu'un personnage virtuel, dont l'action se limite à un certain nombre de scénarios préétablis qui s'achèvent inéluctablement par sa mort. Solo implore son créateur de le libérer. C'est-à-dire de détruire le jeu. L'idée est séduisante, mais la mettre en œuvre n'est pas simple. Il faudrait pénétrer dans la banque de données de la multinationale et elle est bien gardée. Jimi contacte Joystick, un hacker génial, ami de Lisa. Pénétrer les ordinateurs les mieux protégés est son passe-temps favori. Tous deux se lancent à l'assaut de la multinationale, avec des hordes de policiers à leurs trousses. Leur voyage nous fait découvrir un monde de misère et de précarité, de ghettos, qui ressemble étrange­ment à certaines tendances de notre présent.

       

      "... Contraint par son budget à une stylisation de bon aloi, Gabriele Salvatores, dont les précédentes réalisations ne laissaient guère transparaître un goût frivole pour la science-fiction, a réalisé un film qui fonctionne sur diverses idées 'modernistes'. Celles-ci — la réalité virtuelle, la programmation, l'intelligence artificielle, etc. — sont utilisées comme trucs à la mode et non pour leur potentiel de réflexion. Mais la vitesse du récit parvient à maintenir l'intérêt du spectateur. Le personnage incarné par Sergio Rubini, loser servant de guide au héros et qui s'est fait greffer des caméras à la place des yeux, rappelle les prestations démentes d'un Thomas Million (vedette géniale du cinéma de genre italien des années 70). Il introduit une note de trivialité réjouissante qui confirme que tout cela n 'est pas pris au sérieux... "

      Jean-François Ranger,Le Monde, 15 mai 1997

    • Réalisation
      Gabriele Salvatores
    • Scénario
      Gabriele Salvatores, Gloria Corica, Pino Cacucci
    • Image
      Italo Petriccione
    • Montage
      Massimo Fiocchi
    • Musique
      Mauro Pagani, Frederico de Robertis
    • Producteur (s)
      Vittorio e Rita Cecchi Gori
    • Productions
      Davis films, Colorado Film Production, CGC Tiger Cinematografica
    • Distribution France
      AFMD
    • Interprètes
      Christophe Lambert, Diego Abatantuono, Sergio Rubini, Stefania Rocca, Amanda Sandrelli, Emmanuelle Seigner
    • Année
      1997
    • Durée
      1h 54
    • Pays de production
      Italie
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