PORTE APERTE

PORTE APERTE

PORTES OUVERTES

Gianni Amelio

0h 1min
1990
Story of PORTE APERTE
PORTE APERTE PORTES OUVERTES Par un matin de mars 1937 à Palerme, Tommaso Scalia commet trois homicides. Avec une froide détermination, il tue son patron qui l'avait licencié, puis l'homme qui avait pris son poste à la Confédération Fas­ciste Libre des Professions et Artistes, et enfin sa femme. Il rentre ensuite chez lui, prépare à manger pour son fils, et attend, allongé sur le lit, que la police vienne le prendre et l'arrêter. A la Cour d'Assises commence un procès dont le résultat est presque certain, puisque sous le régime fasciste, la peine de mort est prévue pour ces délits. Mais le juge qui enquête, Vito Di Francesco, cherche par tous les moyens àsauver la tête de l'assassin, pourtant ignoble, monstrueux. Peu importe, Vito Di Francesco est contre la peine de mort qui profite au pouvoir et jamais à l'homme. Malgré le désir exprimé par le criminel d'un procès rapide avec un verdict de peine capitale, le juge se met à enquêter, ne se contentant pas des apparences. Sa tâche est d'autant plus difficile que toutes ses tentatives pour trouver les circonstances atténuantes aux trois meurtres échouent se heurtant même à la déci­sion de l'accusé. Di Franscesco est sur le point d'abandonner, mais au moment où tout semble définitivement achevé, le juge découvre qu'il n'est pas seul.   "Avec "Portes ouvertes", Gianni Amelio nous touche, nous remue, nous bouleverse... Il communique son émotion mais nous laisse aussi être nous-même. Il joue sur les non-dits et les silences. La caméra se balade, se balance, suggère les drames sans les montrer, hésite entre le clairet l'obscur, le jour et la nuit. Elle doute et nous fait douter de quelques certitudes trop vite acquises. La meilleure façon de briser tous les racismes et les into­lérances". Gérard Pangon - Télérama
    • PORTE APERTE

      PORTES OUVERTES

      Par un matin de mars 1937 à Palerme, Tommaso Scalia commet trois homicides. Avec une froide détermination, il tue son patron qui l'avait licencié, puis l'homme qui avait pris son poste à la Confédération Fas­ciste Libre des Professions et Artistes, et enfin sa femme. Il rentre ensuite chez lui, prépare à manger pour son fils, et attend, allongé sur le lit, que la police vienne le prendre et l'arrêter.

      A la Cour d'Assises commence un procès dont le résultat est presque certain, puisque sous le régime fasciste, la peine de mort est prévue pour ces délits. Mais le juge qui enquête, Vito Di Francesco, cherche par tous les moyens àsauver la tête de l'assassin, pourtant ignoble, monstrueux.

      Peu importe, Vito Di Francesco est contre la peine de mort qui profite au pouvoir et jamais à l'homme. Malgré le désir exprimé par le criminel d'un procès rapide avec un verdict de peine capitale, le juge se met à enquêter, ne se contentant pas des apparences. Sa tâche est d'autant plus difficile que toutes ses tentatives pour trouver les circonstances atténuantes aux trois meurtres échouent se heurtant même à la déci­sion de l'accusé. Di Franscesco est sur le point d'abandonner, mais au moment où tout semble définitivement achevé, le juge découvre qu'il n'est pas seul.

       

      "Avec "Portes ouvertes", Gianni Amelio nous touche, nous remue, nous bouleverse...

      Il communique son émotion mais nous laisse aussi être nous-même. Il joue sur les non-dits et les silences. La caméra se balade, se balance, suggère les drames sans les montrer, hésite entre le clairet l'obscur, le jour et la nuit. Elle doute et nous fait douter de quelques certitudes trop vite acquises. La meilleure façon de briser tous les racismes et les into­lérances".

      Gérard Pangon - Télérama

    • Réalisation
      Gianni Amelio
    • Scénario
      Gianni Amelio, Vincenzo Cerami, Alessandro Sermoneta d'après le roman de Leonardo Sciascia
    • Image
      Tonino Mardi
    • Montage
      Simona Paggi
    • Musique
      Franco Piersanti
    • Producteur (s)
      Angelo Rizzoli Jr.
    • Productions
      Erre Produzioni, Uriana Film, Istituto Luce
    • Interprètes
      Gian Maria Volonté, Ennio Fantastichini, Renzo Giovampietro, Renato Carpentieri, Tuccio Musumeci, Silverio Blasi, Giacomo Piperno, Lydia Alfonsi
    • Année
      1990
    • Durée
      1h 48
    • Pays de production
      Italie
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