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SULLA MIA PELLE

0h 1min
2023
Story of SULLA MIA PELLE
SULLA MIA PELLE Salerne, au sud de Naples. Tony est en prison, suite à une condamnation pour vol à main armée. Mais même en prison il essaie de sauvegarder certaines formes de liberté intérieure. Après quatre ans, il obtient un régime de semi-liberté: le jour il va travailler dans une laiterie industrielle et le soir il rentre à la prison. Lors d'une tournée de livraison, il assiste à l'agression dont est victime Alfonso, son patron. Pour se moderniser, il s'est endetté auprès d'usu­riers mafieux qui maintenant exigent le remboursement des dettes et espèrent faire main basse sur l'entre­prise. Tony n'intervient pas, mais il éprouve une certaine forme de sym­pathie pour Alfonso qui est, comme lui, prisonnier, même si les bar­reaux derrière lesquels il se trouve sont d'une autre sorte. Il est aussi fortement attiré par Bianca, la cousine de Stefano, fière et hautaine, mais qui sait aussi se montrer humaine et opposée a toute forme de violence. Tony épouse le combat de ces personnes qui défendent leur dignité d'êtres libres contre la tyrannie mafieuse. Mais rien n'y fait. Comme dans une machine infernale, l'étau se referme sur eux.   «Le sujet provient d'une expérience personnelle : pendant deux ans j'ai enseigné dans la prison de Rebibbia à Rome. Ensuite on a travaillé en groupe, avec Gualtiero Rosella - le scénariste de "Fuori dal mondo" de Giuseppe Piccioni - et Enzo Civitareale. Diego De Silva s'est joint à nous. Il est écrivain et de Salerne, la ville où est située l'histoire. Il nous a aidés à donner plus d'authenticité aux dialogues. Nous ne voulions pas raconter une histoire d'individus en semi-liberté, qui sont au maximum quelques centaines dans tout le pays. Notre intention était d'utiliser le récit précis et détaillé de leur vie pour parler de notre vie à tous. On est libres, ou du moins on croit l'être, en fait on accepte jour après jour toute une série de conditionnements et de res­trictions à notre liberté ou, pire encore, à notre dignité. » Propos recueillis par Sarah Gherbitz, www.fucine.com
    • SULLA MIA PELLE

      Salerne, au sud de Naples. Tony est en prison, suite à une condamnation pour vol à main armée. Mais même en prison il essaie de sauvegarder certaines formes de liberté intérieure. Après quatre ans, il obtient un régime de semi-liberté: le jour il va travailler dans une laiterie industrielle et le soir il rentre à la prison. Lors d'une tournée de livraison, il assiste à l'agression dont est victime Alfonso, son patron. Pour se moderniser, il s'est endetté auprès d'usu­riers mafieux qui maintenant exigent le remboursement des dettes et espèrent faire main basse sur l'entre­prise. Tony n'intervient pas, mais il éprouve une certaine forme de sym­pathie pour Alfonso qui est, comme lui, prisonnier, même si les bar­reaux derrière lesquels il se trouve sont d'une autre sorte. Il est aussi fortement attiré par Bianca, la cousine de Stefano, fière et hautaine, mais qui sait aussi se montrer humaine et opposée a toute forme de violence.

      Tony épouse le combat de ces personnes qui défendent leur dignité d'êtres libres contre la tyrannie mafieuse. Mais rien n'y fait. Comme dans une machine infernale, l'étau se referme sur eux.

       

      «Le sujet provient d'une expérience personnelle : pendant deux ans j'ai enseigné dans la prison de Rebibbia à Rome. Ensuite on a travaillé en groupe, avec Gualtiero Rosella - le scénariste de "Fuori dal mondo" de Giuseppe Piccioni - et Enzo Civitareale. Diego De Silva s'est joint à nous. Il est écrivain et de Salerne, la ville où est située l'histoire. Il nous a aidés à donner plus d'authenticité aux dialogues.

      Nous ne voulions pas raconter une histoire d'individus en semi-liberté, qui sont au maximum quelques centaines dans tout le pays. Notre intention était d'utiliser le récit précis et détaillé de leur vie pour parler de notre vie à tous. On est libres, ou du moins on croit l'être, en fait on accepte jour après jour toute une série de conditionnements et de res­trictions à notre liberté ou, pire encore, à notre dignité. »

      Propos recueillis par Sarah Gherbitz, www.fucine.com

    • Réalisation
      Valerio Halongo
    • Scénario
      Valerio Jalongo, Gualtiero Rosella, Enzo Civitareale; Diego Da Silva
    • Image
      Alessandro Pesci
    • Montage
      Luciana Pandolfelli
    • Musique
      Paolo Buonvino
    • Producteur (s)
      Rosario Rinaldo
    • Productions
      Pequod
    • Vente à l’étranger
      Adriana Chiesa
    • Interprètes
      Ivan Franeck, Vincenzo Peluso, Donatella Finocchiaro, Mario Scarpetta, Stefano Cassetti, Riccardo Zina Antonio Pennarella
    • Année
      2003
    • Durée
      1h 41
    • Pays de production
      Italie
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