Story of IL VIZIO DELLA SPERANZA
Non loin de Naples le fleuve Volturno se jette dans la mer. Le fleuve et ses rives sont le théâtre de bien des trafics. Maria (Pina Turco) vit là, dans un présent monotone, s’occupant de sa mère et au service d’une dame (Marina Confalone) qui régit un trafic d’enfants et de prostituées. Maria, vêtue comme un homme, accompagnée de son pitbull, transporte sur sa barque des femmes enceintes vers un bâtiment miteux où elles accouchent sans aucune assistance. Un jour une femme africaine s’échappe et Maria se met en chasse pour la retrouver. Mais elle aussi est enceinte et progressivement son instinct maternel fait émerger sa féminité, au risque de perdre sa position dans la camorra locale.
« La terre donne la vie, la terre héberge, la terre laisse fructifier, puis elle recouvre le corps défunt ; le fleuve mouille la terre au moment de l’hiver et sa force prolifique se stérilise.
Le vice de l’espoir : cette histoire a une origine primordiale, elle est inspirée de l’obstination de la vie qui lutte avec acharnement contre la mort. À la manière d’un enchevêtrement aristotélicien entre thèse, antithèse et synthèse, la parabole du monde se transforme par la naissance, la mort et la renaissance.
Je ne peux oublier ce que m’a dit un grand plongeur bosniaque juste avant de plonger dans les eaux glaciales de l’hiver slave : chaque année par le fleuve nous renaissons. »
Edoardo De Angelis, Dossier de presse
- IL VIZIO DELLA SPERANZA
Non loin de Naples le fleuve Volturno se jette dans la mer. Le fleuve et ses rives sont le théâtre de bien des trafics. Maria (Pina Turco) vit là, dans un présent monotone, s’occupant de sa mère et au service d’une dame (Marina Confalone) qui régit un trafic d’enfants et de prostituées. Maria, vêtue comme un homme, accompagnée de son pitbull, transporte sur sa barque des femmes enceintes vers un bâtiment miteux où elles accouchent sans aucune assistance. Un jour une femme africaine s’échappe et Maria se met en chasse pour la retrouver. Mais elle aussi est enceinte et progressivement son instinct maternel fait émerger sa féminité, au risque de perdre sa position dans la camorra locale.
« La terre donne la vie, la terre héberge, la terre laisse fructifier, puis elle recouvre le corps défunt ; le fleuve mouille la terre au moment de l’hiver et sa force prolifique se stérilise.
Le vice de l’espoir : cette histoire a une origine primordiale, elle est inspirée de l’obstination de la vie qui lutte avec acharnement contre la mort. À la manière d’un enchevêtrement aristotélicien entre thèse, antithèse et synthèse, la parabole du monde se transforme par la naissance, la mort et la renaissance.
Je ne peux oublier ce que m’a dit un grand plongeur bosniaque juste avant de plonger dans les eaux glaciales de l’hiver slave : chaque année par le fleuve nous renaissons. »
Edoardo De Angelis, Dossier de presse
- RéalisationEdoardo De Angelis
- ScénarioUmberto Contarello, Edoardo De Angelis
- ImageFerran Paredes Rubio
- MontageChiara Griziotti
- MusiqueEnzo Avitabile
- Producteur (s)Attilio De Razza, Pierpaolo Varga
- ProductionsTramp Limited, O’ Grove, Medusa Film, avec la contribution du Mibac, de Regione Campania, en collaboration avec Film Commission Regione Campania
- Vente à l’étrangerTrue Colours
- InterprètesPina Turco, Massimiliano Rossi, Marina Confalone, Cristina Donadio, Marcello Romolo
- Année2018
- Durée1h 36
- Pays de productionItalie
- FormatVOSTF
- CitationSi je dois mourir, je veux mourir comme je l’entends.