NEL NOME DEL PADRE

NEL NOME DEL PADRE

AU NOM DU PÈRE

Marco Bellocchio

0h 1min
1972
Story of NEL NOME DEL PADRE
NEL NOME DEL PADRE AU NOM DU PÈRE 1958, année de la mort de Pie XII, le plus clérical et autoritaire des papes modernes. Angelo Transeunti (Yves Beneyton), un adolescent à forte personnalité, est envoyé dans un collège de Jésuites par un père qui ne supporte pas son insubordination. Riche, anticonformiste et doué d'un grand charisme parmi les autres étudiants, il crée bientôt la confusion en incitant ses camarades à se rebeller contre les enseignements anciens et désuets des professeurs et à ne pas accepter les règles rigides imposées par le directeur adjoint Corazza (Renato Scarpa). Le seul étudiant qui ose lui tenir tête et le confronter est Franc (Aldo Sassi) un jeune homme aux idées généreuses. Angelo, nourrit le feu de la rébellion et après avoir incité Franc à tirer quelques coups de pistolet sur l'image de sa mère (Laura Betti) une femme névrotique et suffocante, il organise un spectacle qui grotesque et blasphématoire qui sème la confusion dans l'ordre apparent mais ne mènera pas pour autant à la révolte. Bienheureux, l'un des serviteurs se suicide et Salvatore (Lou Castel) tente, en fomentant une grève, d'obtenir des conditions plus dignes pour les personnels. Mais en vain ; il est licencié. Au final tout reste inchangé ...   On peut  voir dans  le film le tableau (en partie autobiographique)  de la vie dans un collège religieux, le récit  d'une  révolte adolescente  et, à la fois, une parabole qui renvoie aux problèmes de la lutte des classes dans l'Italie contemporaine. Dossier de presse UFOLEIS   Marco Bellocchio n'en avait donc pas fini avec son adolescence, le milieu provincial et bourgeois dont il est issu, l'éducation religieuse qu'il a reçue. Après Les Poings dans les poches et La Chine est proche, Au nom du père constitue le troisième volet d'un virulent règlement de comptes. Plus impitoyable et corrosif que les deux précédents, ce film témoigne d'une maturité intellectuelle et d'une maîtrise cinématographique qui confirment la personnalité exceptionnelle du jeune réalisateur italien. Jean De Baroncelli, le Monde, 3 février 1973    
    • NEL NOME DEL PADRE

      AU NOM DU PÈRE

      1958, année de la mort de Pie XII, le plus clérical et autoritaire des papes modernes.

      Angelo Transeunti (Yves Beneyton), un adolescent à forte personnalité, est envoyé dans un collège de Jésuites par un père qui ne supporte pas son insubordination. Riche, anticonformiste et doué d'un grand charisme parmi les autres étudiants, il crée bientôt la confusion en incitant ses camarades à se rebeller contre les enseignements anciens et désuets des professeurs et à ne pas accepter les règles rigides imposées par le directeur adjoint Corazza (Renato Scarpa). Le seul étudiant qui ose lui tenir tête et le confronter est Franc (Aldo Sassi) un jeune homme aux idées généreuses.

      Angelo, nourrit le feu de la rébellion et après avoir incité Franc à tirer quelques coups de pistolet sur l'image de sa mère (Laura Betti) une femme névrotique et suffocante, il organise un spectacle qui grotesque et blasphématoire qui sème la confusion dans l'ordre apparent mais ne mènera pas pour autant à la révolte. Bienheureux, l'un des serviteurs se suicide et Salvatore (Lou Castel) tente, en fomentant une grève, d'obtenir des conditions plus dignes pour les personnels. Mais en vain ; il est licencié. Au final tout reste inchangé ...

       

      On peut  voir dans  le film le tableau (en partie autobiographique)  de la vie dans un collège religieux, le récit  d'une  révolte adolescente  et, à la fois, une parabole qui renvoie aux problèmes de la lutte des classes dans l'Italie contemporaine.

      Dossier de presse UFOLEIS

       

      Marco Bellocchio n'en avait donc pas fini avec son adolescence, le milieu provincial et bourgeois dont il est issu, l'éducation religieuse qu'il a reçue. Après Les Poings dans les poches et La Chine est proche, Au nom du père constitue le troisième volet d'un virulent règlement de comptes. Plus impitoyable et corrosif que les deux précédents, ce film témoigne d'une maturité intellectuelle et d'une maîtrise cinématographique qui confirment la personnalité exceptionnelle du jeune réalisateur italien.

      Jean De Baroncelli, le Monde, 3 février 1973

       

       

    • Réalisation
      Marco Bellochio
    • Scénario
      Marco Bellocchio
    • Image
      Franco Di Giacomo
    • Montage
      Franco Arcalli
    • Musique
      Nicola Piovani
    • Producteur (s)
      Franco Cristaldi
    • Productions
      Vides Cinematografica
    • Interprètes
      Yves Beneyton, Renato Scarpa, Laura Betti, Lou Castel, Aldo Sassi, Piero Vida, Marco Romizi, Gérard Boucaron, Edoardo Torricella, Livio Galassi, Ghigo Alberani
    • Année
      1972
    • Durée
      1h45
    • Pays de production
      Italie
    • Format
      VO
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