Story of DOMANI
Cacchiano Umbro était un joli petit village au cœur de l'Ombrie, où se côtoyaient en parfaite harmonie les fresques de Fra Angelico et les antennes paraboliques. C’était un village riche, peuplé de gens sages, habitués à une vie aisée.
C'était, car une nuit, un tremblement de terre de niveau 9 sur l'échelle de Mercalli a tout bouleversé ; non seulement dans le paysage, mais aussi dans les esprits.
Agostino, onze ans, très attaché à sa mère, la très belle Stefania, est inquiet. Il observe sa mère et se demande pourquoi elle se soucie tant de Giuseppe, l'homme qui maintenant partage leur camping-car, transformé en habitation collective Son père, géomètre, doit s'occuper des mesures d'urgence et trop souvent occupé…
Vale et Tina, les deux Valentina qui sont dans la même classe qu'Agostino sont tellement amies qu'elles ne forment qu'une seule et même personne, bien qu'étant de milieux très différents. Leurs maisons sont détruites. Les reconstruira-t-on ? Ou bien seront-elles obligées de se séparer pour suivre leurs familles relogées ailleurs ?
Betty, une jeune enseignante complexée à cause d'un bec de lièvre essaie de donner à ses élèves un semblant de normalité et de les aider à dépasser le traumatisme.
Domani n'est pas un film qui dénonce quoi que se soit, du moins dans le sens traditionnel. Il n'y a pas de date, le village dévasté par le tremblement de terre a un nom imaginaire, l'absence ou les absurdités des secours organisés sont juste évoqués par les confections de poupées Barbie envoyées en signe de solidarité ou bien par le passage rapide d'un ministre qui annonce que "Les travaux vont commencer aujourd'hui même".
Francesca Archibugi s'explique : "En fait, je voulais parler des tremblements de terre personnels plutôt que de celui de 1937. Le tremblement de terre n'est pas une catégorie en soi. Tout dépend des conséquences qu'il entraîne sur les individus. Pour quelqu'un qui perd tout, cela peut être une bonne occasion de faire un bilan de sa vie, à condition qu'il n'y ait pas de décès dans ses proches."
Michele Anselmi, Ciak. février 2000
DOMANI
Cacchiano Umbro était un joli petit village au cœur de l'Ombrie, où se côtoyaient en parfaite harmonie les fresques de Fra Angelico et les antennes paraboliques. C’était un village riche, peuplé de gens sages, habitués à une vie aisée.
C'était, car une nuit, un tremblement de terre de niveau 9 sur l'échelle de Mercalli a tout bouleversé ; non seulement dans le paysage, mais aussi dans les esprits.
Agostino, onze ans, très attaché à sa mère, la très belle Stefania, est inquiet. Il observe sa mère et se demande pourquoi elle se soucie tant de Giuseppe, l'homme qui maintenant partage leur camping-car, transformé en habitation collective Son père, géomètre, doit s'occuper des mesures d'urgence et trop souvent occupé…
>Vale et Tina, les deux Valentina qui sont dans la même classe qu'Agostino sont tellement amies qu'elles ne forment qu'une seule et même personne, bien qu'étant de milieux très différents. Leurs maisons sont détruites. Les reconstruira-t-on ? Ou bien seront-elles obligées de se séparer pour suivre leurs familles relogées ailleurs ?
Betty, une jeune enseignante complexée à cause d'un bec de lièvre essaie de donner à ses élèves un semblant de normalité et de les aider à dépasser le traumatisme.Domani n'est pas un film qui dénonce quoi que se soit, du moins dans le sens traditionnel. Il n'y a pas de date, le village dévasté par le tremblement de terre a un nom imaginaire, l'absence ou les absurdités des secours organisés sont juste évoqués par les confections de poupées Barbie envoyées en signe de solidarité ou bien par le passage rapide d'un ministre qui annonce que "Les travaux vont commencer aujourd'hui même".
Francesca Archibugi s'explique : "En fait, je voulais parler des tremblements de terre personnels plutôt que de celui de 1937. Le tremblement de terre n'est pas une catégorie en soi. Tout dépend des conséquences qu'il entraîne sur les individus. Pour quelqu'un qui perd tout, cela peut être une bonne occasion de faire un bilan de sa vie, à condition qu'il n'y ait pas de décès dans ses proches."
Michele Anselmi, Ciak. février 2000
- RéalisationFrancesca Archibugi
- ScénarioFrancesca Archibugi
- ImageLuca Bigazzi
- MontageJacopo Quadri
- MusiqueBattista Lena
- Producteur (s)Guido De Laurentiis
- ProductionsCinemollo, Rai Cinéma. Télé+
- Vente à l’étrangerIntramovies
- InterprètesOrnella Muti, Marco Baliani, Valerio Mastandrea, Ilaria Occhini, Patricia Piccinini, James Purefoy, Niccolo Senni, Anna Wilson-Jones, Stella Vordemann
- Année2001
- Durée1h 46
- Pays de productionItalie
- FormatVOST