Story of DON BOSCO
II y a cent ans de cela, la mort emporta un prêtre de 70 ans qui avait passé sa vie à travailler avec des jeunes gens dans le Piémont. Cet homme avait su utiliser sa personnalité magnétique afin d'ouvrir le champ à une société contemporaine au sein de laquelle les plus démunis pourraient s'intégrer.
Turin ressemble alors au Londres de Dickens dans lequel de nombreuses personnes vivent dans une misère noire qui transforme les hommes en de véritables menteurs et voleurs et les conduit irrémédiablement à la violence.
Charité, espoir et foi sont les principaux arguments du travail de l'abbé Bosco au service de générations de jeunes gens sans idéaux pour lesquels il fait construire des écoles, des ateliers. Le prêtre rêve de fonder une maison-oratoire pour les accueillir; mais les autorités s'opposent à ses projets, l'archevêque de Turin le considérant comme un rebelle contre l'autorité du diocèse. Le pouvoir spirituel de l'abbé Bosco parviendra-t-il à apaiser les foudres des ennemis, sa foi aura-t-elle raison de la méchanceté et des torts causés par ces derniers ?
Cent ans, c'est une très longue durée, qui peut passer en un clin d'oeil et rester en même temps ancrée dans la mémoire collective pour des siècles.
Leandro Castellani, qui a essentiellement travaillé pour la télévision, réalise avec Don Bosco son deuxième long-métrage après Il coraggio di parlare (1987) qui obtint le Prix du Public au 10e Festival de Villerupt.
DON BOSCO
II y a cent ans de cela, la mort emporta un prêtre de 70 ans qui avait passé sa vie à travailler avec des jeunes gens dans le Piémont. Cet homme avait su utiliser sa personnalité magnétique afin d'ouvrir le champ à une société contemporaine au sein de laquelle les plus démunis pourraient s'intégrer.
Turin ressemble alors au Londres de Dickens dans lequel de nombreuses personnes vivent dans une misère noire qui transforme les hommes en de véritables menteurs et voleurs et les conduit irrémédiablement à la violence.
Charité, espoir et foi sont les principaux arguments du travail de l'abbé Bosco au service de générations de jeunes gens sans idéaux pour lesquels il fait construire des écoles, des ateliers. Le prêtre rêve de fonder une maison-oratoire pour les accueillir; mais les autorités s'opposent à ses projets, l'archevêque de Turin le considérant comme un rebelle contre l'autorité du diocèse. Le pouvoir spirituel de l'abbé Bosco parviendra-t-il à apaiser les foudres des ennemis, sa foi aura-t-elle raison de la méchanceté et des torts causés par ces derniers ?
Cent ans, c'est une très longue durée, qui peut passer en un clin d'oeil et rester en même temps ancrée dans la mémoire collective pour des siècles.
Leandro Castellani, qui a essentiellement travaillé pour la télévision, réalise avec Don Bosco son deuxième long-métrage après Il coraggio di parlare (1987) qui obtint le Prix du Public au 10e Festival de Villerupt.
- RéalisationLeandro Castellani
- ScénarioEnnio De Concini, avec la participation de Silvano Buzzo
- ImageRenato Tafuri
- MontageLeandro Castellani
- MusiqueStelvio Cipriani
- Producteur (s)Corrado Biggi, Elle Di Ci, Alfio Sugaroni
- ProductionsElle Di Ci Cinematografica, RAI Radiotelevisione Italiana, Tiber Cinematografica
- InterprètesBen Gazzara, Patsy Kensit, Karl Zinny, Laurent Terzieff, Raymond Pellegrin, Piera Degli Esposti
- Année1988
- Durée1h 30
- Pays de productionItalie