MI PIACE LAVORARE

MI PIACE LAVORARE

J'AIME TRAVAILLER

Francesca Comencini

0h 1min
2023
Story of MI PIACE LAVORARE
MI PIACE LAVORARE J'AIME TRAVAILLER Anna vit seule avec sa fille Morgana et travaille au service comptabilité d’une grande société. Aimant son travail, appréciée de tous, sa vie bascule le jour où son entreprise est rachetée par une multinationale. Le jour de la fête en l’honneur de la fusion, Anna est la seule employée à ne pas être saluée par le nouveau chef du personnel. Un incident banal, un oubli peut-être. Pas si sûr. À partir de cet événement, son supérieur et ses collègues changent d’attitude envers elle. Les vexations commencent, petites, invisibles, mais répétées. À la cantine, on l’évite. On la change régulièrement de poste de travail et on lui fait effectuer les tâches les plus ingrates. Ces humiliations quotidiennes de la part de la direction n’ont qu’un but : obtenir sa démission. Elle ne dit rien, elle subit, sous le regard de sa petite fille qui bien souvent se débrouille toute seule sans comprendre ce qui arrive. Après une longue période de stress et d’angoisse, Anna, avec l’aide du syndicat décide d’avoir recours à la justice et d’attaquer l’entreprise, pour retrouver enfin toute sa dignité…   « Mi piace lavorare pourrait être défini comme un véritable film d’horreur. L’horreur sans monstres ni vampires, mais l’horreur du quotidien qui, bien souvent, rend angoissante l’existence de nombreux salariés. (…) Quand on pense qu’il y quarante ans, on évoqua un climat à la Kafka à propos de Il posto de Olmi, quelle comparaison littéraire devrait-on inventer aujourd’hui pour Mi piace lavorare ? La vérité est qu’ici il n’y a pas de place pour la littérature et que face à un événement raconté qui colle autant avec la réalité sociale et psychologique, même le diaphragme de la caméra ne semble plus exister. Tout en insérant dans le film beaucoup d’éléments personnels, la réalisatrice fait un grand effort d’objectivité et réussit à cerner un grave problème de société sans œillères idéologiques. Tous les acteurs non professionnels ont été invités à improviser leurs répliques en s’inspirant de situations de la vie réelle et ils le font avec une crédibilité absolue ; et au centre, Nicoletta Braschi joue si juste qu’elle semble aussi peu comédienne que les autres interprètes. Un film qui mériterait d’être vu et médité par beaucoup. » Tullio Kezich, Corriere della sera, 12 février 2004   « Tourné dans l'urgence, et avec très peu de moyens, Mi piace lavorare est le résultat d'une longue recherche sur le harcèlement menée auprès du plus important syndicat italien. Toute l'équipe a collaboré pleinement au projet : des interprètes non professionnels d'une rare justesse à Nicoletta Braschi, "l'actrice" de Roberto Benigni, ici dans son meilleur rôle ; la propre fille de la cinéaste, le chef opérateur Luca Bigazzi, la décoratrice Paola Comencini… tous ont permis de faire de Mi piace lavorare un acte d'accusation poignant et courageux . » commeaucinema.com
    • MI PIACE LAVORARE

      J'AIME TRAVAILLER

      Anna vit seule avec sa fille Morgana et travaille au service comptabilité d’une grande société. Aimant son travail, appréciée de tous, sa vie bascule le jour où son entreprise est rachetée par une multinationale. Le jour de la fête en l’honneur de la fusion, Anna est la seule employée à ne pas être saluée par le nouveau chef du personnel. Un incident banal, un oubli peut-être. Pas si sûr. À partir de cet événement, son supérieur et ses collègues changent d’attitude envers elle. Les vexations commencent, petites, invisibles, mais répétées. À la cantine, on l’évite. On la change régulièrement de poste de travail et on lui fait effectuer les tâches les plus ingrates. Ces humiliations quotidiennes de la part de la direction n’ont qu’un but : obtenir sa démission. Elle ne dit rien, elle subit, sous le regard de sa petite fille qui bien souvent se débrouille toute seule sans comprendre ce qui arrive. Après une longue période de stress et d’angoisse, Anna, avec l’aide du syndicat décide d’avoir recours à la justice et d’attaquer l’entreprise, pour retrouver enfin toute sa dignité…

       

      « Mi piace lavorare pourrait être défini comme un véritable film d’horreur. L’horreur sans monstres ni vampires, mais l’horreur du quotidien qui, bien souvent, rend angoissante l’existence de nombreux salariés. (…) Quand on pense qu’il y quarante ans, on évoqua un climat à la Kafka à propos de Il posto de Olmi, quelle comparaison littéraire devrait-on inventer aujourd’hui pour Mi piace lavorare ? La vérité est qu’ici il n’y a pas de place pour la littérature et que face à un événement raconté qui colle autant avec la réalité sociale et psychologique, même le diaphragme de la caméra ne semble plus exister. Tout en insérant dans le film beaucoup d’éléments personnels, la réalisatrice fait un grand effort d’objectivité et réussit à cerner un grave problème de société sans œillères idéologiques. Tous les acteurs non professionnels ont été invités à improviser leurs répliques en s’inspirant de situations de la vie réelle et ils le font avec une crédibilité absolue ; et au centre, Nicoletta Braschi joue si juste qu’elle semble aussi peu comédienne que les autres interprètes. Un film qui mériterait d’être vu et médité par beaucoup. »

      Tullio Kezich, Corriere della sera, 12 février 2004

       

      « Tourné dans l'urgence, et avec très peu de moyens, Mi piace lavorare est le résultat d'une longue recherche sur le harcèlement menée auprès du plus important syndicat italien. Toute l'équipe a collaboré pleinement au projet : des interprètes non professionnels d'une rare justesse à Nicoletta Braschi, "l'actrice" de Roberto Benigni, ici dans son meilleur rôle ; la propre fille de la cinéaste, le chef opérateur Luca Bigazzi, la décoratrice Paola Comencini… tous ont permis de faire de Mi piace lavorare un acte d'accusation poignant et courageux . »

      commeaucinema.com

    • Réalisation
      Francesca Comencini
    • Scénario
      Francesca Comencini, Assunta Cestaro, Daniele Ranieri
    • Image
      Luca Bigazzi
    • Montage
      Massimo Fiocchi
    • Musique
      Gianni Coscia, Gianluigi Trovesi
    • Producteur (s)
      Donatella Botti
    • Productions
      Bianca Film, RAI Cinema
    • Distribution France
      Acadra Distribution
    • Interprètes
      Nicoletta Braschi, Camille Dugay Comencini, Maria Buoncristani, Rosa Matteucci, Alessio Sperati, Assunta Cestaro, Roberta Celea
    • Année
      2004
    • Durée
      1h 39
    • Pays de production
      Italie
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