MIO CARO DOTTOR GRÄSLER

MIO CARO DOTTOR GRÄSLER

Roberto Faenza

0h 2min
1990
Story of MIO CARO DOTTOR GRÄSLER
MIO CARO DOTTOR GRÄSLER Le docteur Gräsler est un homme d'âge mûr mais encore plein de charme. Il exerce dans des stations thermales, des endroits particulièrement agréables : l'hiver sur l'île ensoleillée de Lanzarote et l'été dans de ravissantes stations austro-hongroises. Toutefois, las d'un métier auquel il ne croit plus, marqué par le suicide de sa sœur qui a veillé maternellement sur lui depuis toujours, il commence à chercher l'amour comme dernier havre de bonheur de son exis­tence proche du déclin. Il le cherche dans le regard des jolies curistes, il le saisit au coin des rues, chaque jour, il le "flaire" avec une sorte d'obsession. Mais Gräsler est aussi un éternel indécis. D'abord, il s'éprend de Sabine, la fille franche et volontaire d'un baryton. Mais dès que la jeune fille se dit prête à le suivre, il commence à reculer, effrayé à l'idée de prendre une décision. C'est ensuite le tour de Katharina, jeune femme libre de tout  préjugé, qu'il rencontre dans la rue de sa ville natale et à laquelle il fait immédiatement la cour, tandis que Sabine attend  encore sa réponse. Une fois de plus, au moment de décider, Gräsler bat en retraite, pour le regretter lorsqu'il est trop tard. Finalement, d'hésitation en hésitation, il tombe dans les bras d'une veuve appétissante.   Un antihéros très contemporain, séduisant et indécis, sans assurance face aux fem­mes, comme suspendu à un fil dans un monde  dans lequel il a difficulté à s'identifier avec quelque chose, incapable de décider parce que chaque choix est au fond pareil à un autre. Ce touriste de l'existence est placé par Roberto Faenza dans la période qui précède la Première guerre mondiale, dans un temps quasi immuable. Arthur Schnitzler écrivit Docteur Graesler, médecin thermaliste  en 1914, et il le publia par épisodes en 1917 sur le quotidien Berliner Tageblatt. Lietta TORNABUONI, La Stampa,  8 janvier 2003
    • MIO CARO DOTTOR GRÄSLER

      Le docteur Gräsler est un homme d'âge mûr mais encore plein de charme. Il exerce dans des stations thermales, des endroits particulièrement agréables : l'hiver sur l'île ensoleillée de Lanzarote et l'été dans de ravissantes stations austro-hongroises. Toutefois, las d'un métier auquel il ne croit plus, marqué par le suicide de sa sœur qui a veillé maternellement sur lui depuis toujours, il commence à chercher l'amour comme dernier havre de bonheur de son exis­tence proche du déclin. Il le cherche dans le regard des jolies curistes, il le saisit au coin des rues, chaque jour, il le "flaire" avec une sorte d'obsession.

      Mais Gräsler est aussi un éternel indécis. D'abord, il s'éprend de Sabine, la fille franche et volontaire d'un baryton. Mais dès que la jeune fille se dit prête à le suivre, il commence à reculer, effrayé à l'idée de prendre une décision. C'est ensuite le tour de Katharina, jeune femme libre de tout  préjugé, qu'il rencontre dans la rue de sa ville natale et à laquelle il fait immédiatement la cour, tandis que Sabine attend  encore sa réponse. Une fois de plus, au moment de décider, Gräsler bat en retraite, pour le regretter lorsqu'il est trop tard. Finalement, d'hésitation en hésitation, il tombe dans les bras d'une veuve appétissante.

       

      Un antihéros très contemporain, séduisant et indécis, sans assurance face aux fem­mes, comme suspendu à un fil dans un monde  dans lequel il a difficulté à s'identifier avec quelque chose, incapable de décider parce que chaque choix est au fond pareil à un autre. Ce touriste de l'existence est placé par Roberto Faenza dans la période qui précède la Première guerre mondiale, dans un temps quasi immuable. Arthur Schnitzler écrivit Docteur Graesler, médecin thermaliste  en 1914, et il le publia par épisodes en 1917 sur le quotidien Berliner Tageblatt.

      Lietta TORNABUONI, La Stampa,  8 janvier 2003

    • Réalisation
      Roberto Faenza
    • Scénario
      Roberto Faenza, Ennio De Concini, d'après la nouvelle d'Arthur Schnitzler
    • Image
      Giuseppe Rotunno
    • Montage
      Claudio Cutry
    • Musique
      Ennio Morricone
    • Producteur (s)
      Mario Orfini
    • Productions
      Eidoscope International, Reteitalia, Mediapark (Budapest)
    • Interprètes
      Keith Carradine, Miranda Richardson, Kristin Scott Thomas, Sarah-Jane Fenton, Max von Sydow, Mari Töröcsik, Mario Adorf
    • Année
      1990
    • Durée
      2h 01
    • Pays de production
      Italie, Hongrie
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