Story of PECORE IN ERBA
Leonardo Zuliani (Davide Giordano) a disparu. La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre et agite tout le pays. Toutes les chaînes de télévision diffusent des émissions spéciales qui montrent sa mère éplorée et interviewent amis et connaissances, alors qu’un sociologue explique l’importance de ce personnage public. On parcourt l’enfance et l’adolescence de ce génie de la communication et militant des droits civiques : n’a-t-il pas permis en Italie l’expression de l’antisémitisme longtemps réprimé ? C’est que tout petit déjà Leonardo avait développé une sensibilité aiguë au problème et connu de longues dépressions comme lorsqu’il avait découvert que Jésus lui-même était juif. Néanmoins chaque fois il se reprenait et repartait en lutte contre l’″antisémiphobie″ dominante.
« J’ai voulu aborder le thème de l’antisémitisme par le biais de la satire, en brisant tous les tabous qui me rendaient impossible une approche plus classique. L’antisémitisme est un phénomène tellement profond qu’on ne peut le réduire à ses expressions les plus extrêmes et explicites. Ce sont ses manifestations apparemment inconscientes qui sont les plus dures à combattre. Mon film est une façon de mettre en évidence et de ridiculiser l’hypocrisie et les préjugés. Il invite à réfléchir sur toutes les facettes de ce phénomène et à se positionner face à elles. »
Alberto Caviglia, Dossier de presse
Après des études de Lettres à Rome et une thèse sur David Cronenberg, Alberto Caviglia (1984) a suivi les cours de mise en scène à la New York Film Academy. À partir de 2006 il a été l’assistant de Ferzan Ozpetek. Passionné de photo, il est diplômé de la Scuola Romana di Fotografia. Pecore in erba est son premier long-métrage.
PECORE IN ERBA
Leonardo Zuliani (Davide Giordano) a disparu. La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre et agite tout le pays. Toutes les chaînes de télévision diffusent des émissions spéciales qui montrent sa mère éplorée et interviewent amis et connaissances, alors qu’un sociologue explique l’importance de ce personnage public. On parcourt l’enfance et l’adolescence de ce génie de la communication et militant des droits civiques : n’a-t-il pas permis en Italie l’expression de l’antisémitisme longtemps réprimé ? C’est que tout petit déjà Leonardo avait développé une sensibilité aiguë au problème et connu de longues dépressions comme lorsqu’il avait découvert que Jésus lui-même était juif. Néanmoins chaque fois il se reprenait et repartait en lutte contre l’″antisémiphobie″ dominante.
« J’ai voulu aborder le thème de l’antisémitisme par le biais de la satire, en brisant tous les tabous qui me rendaient impossible une approche plus classique. L’antisémitisme est un phénomène tellement profond qu’on ne peut le réduire à ses expressions les plus extrêmes et explicites. Ce sont ses manifestations apparemment inconscientes qui sont les plus dures à combattre. Mon film est une façon de mettre en évidence et de ridiculiser l’hypocrisie et les préjugés. Il invite à réfléchir sur toutes les facettes de ce phénomène et à se positionner face à elles. »
Alberto Caviglia, Dossier de presse
Après des études de Lettres à Rome et une thèse sur David Cronenberg, Alberto Caviglia (1984) a suivi les cours de mise en scène à la New York Film Academy. À partir de 2006 il a été l’assistant de Ferzan Ozpetek. Passionné de photo, il est diplômé de la Scuola Romana di Fotografia. Pecore in erba est son premier long-métrage.
- RéalisationAlberto Caviglia
- ScénarioAlberto Caviglia, Benedetta Grasso,Paolo Cosseddu
- ImageAndrea Locatelli
- MontageGianni Vezzosi
- MusiquePasquale Catalano
- Producteur (s)Luigi Musini, Olivia Musini, Renato Ragosta, Paola Levi, Ricky Levi
- ProductionsOn My Own, avec la contribution du MiBACT
- InterprètesDavide Giordano, Anna Ferruzzo, Omero Antonutti, Bianca Nappi, Mimosa Campironi, Lorenza Indovina
- Année2015
- Durée1h 26
- Pays de productionItalie
- FormatVOST
- CitationIl a marqué profondément notre conscience.