PERICLE IL NERO

PERICLE IL NERO

PÉRICLÈS LE NOIR

Stefano Mordini

Story of PERICLE IL NERO
PERICLE IL NERO PÉRICLÈS LE NOIR

Pericle n’a aucun souvenir de son enfance, si ce n’est celui de sa défunte mère dont il fait entretenir la tombe chaque mois. Orphelin taciturne, il grandit à Liège sous l’aile de Don Luigi, boss de la camorra à la tête des pizzerias de la région. Une fois adulte, troublé par ses origines, drogué et instable, il devient l’homme de main de Don Luigi. Quand les affaires ne fonctionnent pas comme il le souhaite, Don Luigi l’envoie pour convaincre les propriétaires à coups de sacs de sable et de violences sexuelles. Jusqu’au jour où Pericle, chargé d’intimider un prêtre, est surpris par un témoin : Signorinella. Il lui règle son compte sans savoir qu’il s’agit de la sœur de Don Gualtiero, rival de Don Luigi, alors que les deux familles tentent d’apaiser leurs tensions. Pericle doit fuir. Il trouve refuge chez Anastasia, mère divorcée, qu’il rencontre à Calais. Elle lui fait entrevoir une vie bien différente de celle qu’il connaît.

   

« En parcourant les pages de Ferrandino, nous avons tout de suite été captivés par cette étrange musique qui résonnait dans la tête de Pericle. […] Tous ensemble, les auteurs du scénario, les acteurs, les producteurs, nous avons décidé de suivre Pericle et nous avons attendu que ce personnage se révèle entièrement à nous. Et nous avons découvert un orphelin qui n’appartient à personne, à la recherche d’une famille, qui vit hors de son pays, un être étrange qui se bourre de produits chimiques pour apaiser l’absence qui bouillonne en lui. […] Le film échappe à toutes les définitions, il y a du drame, il y a la théâtralité de certaines figures iconiques et il y a une veine d’humour (noir). Et c’est la voix de Pericle qui nous guide dans une fuite dont le seul but est de s’arrêter dans un endroit tranquille et de ne plus être seul. »

Stefano Mordini, Dossier de Presse

 

Stefano Mordini (1968) débute dans le cinéma comme producteur exécutif. Il passe à la réalisation avec une série de courts-métrages suivie de Provincia meccanica (2005), son premier long-métrage de fiction. En 2012 il adapte le roman de Silvia Avallone, Acciaio (Venise, Journées des auteurs) puis en 2016 Pericle il nero de Giuseppe Ferrandino (Cannes, Un certain regard).

    • PERICLE IL NERO

      PÉRICLÈS LE NOIR

      Pericle n’a aucun souvenir de son enfance, si ce n’est celui de sa défunte mère dont il fait entretenir la tombe chaque mois. Orphelin taciturne, il grandit à Liège sous l’aile de Don Luigi, boss de la camorra à la tête des pizzerias de la région. Une fois adulte, troublé par ses origines, drogué et instable, il devient l’homme de main de Don Luigi. Quand les affaires ne fonctionnent pas comme il le souhaite, Don Luigi l’envoie pour convaincre les propriétaires à coups de sacs de sable et de violences sexuelles. Jusqu’au jour où Pericle, chargé d’intimider un prêtre, est surpris par un témoin : Signorinella. Il lui règle son compte sans savoir qu’il s’agit de la sœur de Don Gualtiero, rival de Don Luigi, alors que les deux familles tentent d’apaiser leurs tensions. Pericle doit fuir. Il trouve refuge chez Anastasia, mère divorcée, qu’il rencontre à Calais. Elle lui fait entrevoir une vie bien différente de celle qu’il connaît.

       

       

      « En parcourant les pages de Ferrandino, nous avons tout de suite été captivés par cette étrange musique qui résonnait dans la tête de Pericle. […] Tous ensemble, les auteurs du scénario, les acteurs, les producteurs, nous avons décidé de suivre Pericle et nous avons attendu que ce personnage se révèle entièrement à nous. Et nous avons découvert un orphelin qui n’appartient à personne, à la recherche d’une famille, qui vit hors de son pays, un être étrange qui se bourre de produits chimiques pour apaiser l’absence qui bouillonne en lui. […] Le film échappe à toutes les définitions, il y a du drame, il y a la théâtralité de certaines figures iconiques et il y a une veine d’humour (noir). Et c’est la voix de Pericle qui nous guide dans une fuite dont le seul but est de s’arrêter dans un endroit tranquille et de ne plus être seul. »

      Stefano Mordini, Dossier de Presse

       

      Stefano Mordini (1968) débute dans le cinéma comme producteur exécutif. Il passe à la réalisation avec une série de courts-métrages suivie de Provincia meccanica (2005), son premier long-métrage de fiction. En 2012 il adapte le roman de Silvia Avallone, Acciaio (Venise, Journées des auteurs) puis en 2016 Pericle il nero de Giuseppe Ferrandino (Cannes, Un certain regard).

    • Réalisation
      Stefano Mordini
    • Scénario
      Francesca Marciano, Stefano Mordini, Valia Santella, d’après le roman éponyme de Giuseppe Ferrandino
    • Image
      Matteo Cocco
    • Montage
      Jacopo Quadri
    • Musique
      Peter Von Poehl
    • Producteur (s)
      Valeria Golino, Riccardo Scamarcio, Viola Prestieri, Jean-Pierre et Luc Dardenne, Alain Attal
    • Productions
      Buena Onda, Les films du Fleuve, Les Productions du Trésor, en collaboration avec Rai Cinema, avec la contribution du MiBACT et le soutien de Regione Lazio
    • Interprètes
      Riccardo Scamarcio, Marina Foïs, Valentina Acca, Gigio Morra, Maria Luisa Santella, Lucia Ragni, Eduardo Scarpetta
    • Année
      2016
    • Durée
      1h 45
    • Pays de production
      Italie, Belgique
    • Format
      VOST
    • Citation
      Don Luigi, j’aurais dû faire quoi ? - Tu n’aurais pas dû venir au monde.
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