Story of 7 MINUTI
L’usine Varazzi, spécialisée dans le textile, est sur le point d’être vendue à une multinationale. Bianca (Ottavia Piccolo), porte-parole du comité d’entreprise, assiste impuissante à la longue réunion qui doit mettre un terme aux négociations de rachat. À sa sortie, Bianca expose les conditions de renouvellement des contrats aux dix autres membres du comité : les trois cents ouvrières et employées ne risquent pas de perdre leur emploi si elles acceptent de réduire leur temps de pause méridienne de sept minutes. Cette nouvelle clause est soumise au vote du comité, dernière étape avant la fusion des entreprises. Alors que les travailleuses attendent, devant l’usine, de connaître leur destin, le débat prend de l’ampleur dans la salle occupée par le comité. Au-delà des sept minutes de travail en plus se pose une question essentielle : que sont-elles prêtes à sacrifier pour garder leur emploi ?
« Cette histoire s’est réellement déroulée en 2012 en France. À part l’aspect social très actuel, l’idée de mettre en scène un mécanisme de suspense m’intriguait. Car l’autre grand protagoniste du film est le temps durant lequel nos héroïnes s’affrontent pour sept petites minutes. Dans une société où le fossé entre riches et pauvres s’accentue et le débat idéologique s’appauvrit, on voit émerger les aspects personnels, dictés par nos besoins, nos égos et nos désespoirs. J’ai souvent pensé à Douze hommes en colère de Sidney Lumet, mais dans mon film c’est une ouvrière qui, seule contre toutes ses collègues, défend sa certitude que ces sept minutes cachent un piège sans retour. »
Michele Placido, Dossier de presse
7 MINUTI
7 MINUTES
L’usine Varazzi, spécialisée dans le textile, est sur le point d’être vendue à une multinationale. Bianca (Ottavia Piccolo), porte-parole du comité d’entreprise, assiste impuissante à la longue réunion qui doit mettre un terme aux négociations de rachat. À sa sortie, Bianca expose les conditions de renouvellement des contrats aux dix autres membres du comité : les trois cents ouvrières et employées ne risquent pas de perdre leur emploi si elles acceptent de réduire leur temps de pause méridienne de sept minutes. Cette nouvelle clause est soumise au vote du comité, dernière étape avant la fusion des entreprises. Alors que les travailleuses attendent, devant l’usine, de connaître leur destin, le débat prend de l’ampleur dans la salle occupée par le comité. Au-delà des sept minutes de travail en plus se pose une question essentielle : que sont-elles prêtes à sacrifier pour garder leur emploi ?
« Cette histoire s’est réellement déroulée en 2012 en France. À part l’aspect social très actuel, l’idée de mettre en scène un mécanisme de suspense m’intriguait. Car l’autre grand protagoniste du film est le temps durant lequel nos héroïnes s’affrontent pour sept petites minutes. Dans une société où le fossé entre riches et pauvres s’accentue et le débat idéologique s’appauvrit, on voit émerger les aspects personnels, dictés par nos besoins, nos égos et nos désespoirs. J’ai souvent pensé à Douze hommes en colère de Sidney Lumet, mais dans mon film c’est une ouvrière qui, seule contre toutes ses collègues, défend sa certitude que ces sept minutes cachent un piège sans retour. »
Michele Placido, Dossier de presse
- RéalisationMichele Placido
- ScénarioMichele Placido, Stefano Massini, Toni Trupia, d'après la pièce de Stefano Massini
- ImageArnaldo Catinari
- MontageConsuelo Catucci
- MusiquePaolo Buonvino
- Producteur (s)Federica Vincenti
- ProductionsGoldenart Production, Manny Films, Ventura Films, avec la contribution du MiBACT, avec le soutien de Regione Lazio
- Distribution FranceKanibal Films
- InterprètesAmbra Angiolini, Cristiana Capotondi, Fiorella Mannoia, Maria Nazionale, Violante Placido, Clémence Poésy, Sabine Timoteo, Ottavia Piccolo, Anne Consigny, Luisa Cataneo, Michele Placido
- Année2016
- Durée1h 32
- Pays de productionItalie, France, Suisse
- CitationEt si ce que nous regardons n’était pas le ciel, mais la mer qui nous tombe dessus ?