Story of ALBERTO EXPRESS
Alberto a quinze ans. Son père lui explique une étrange coutume familiale : plus tard, il devra rembourser, avant qu'il ne soit père lui-même, tout ce que son éducation a coûté depuis sa naissance. Quinze ans plus tard, à Paris, à la veille de la naissance de son premier enfant, Alberto est soudain assailli par un remords qui l'empêche de trouver le sommeil... Plus de trente millions de lires... Dans vingt-quatre heures tout au plus...
Alberto abandonne sa femme qui est sur le point d'accoucher et se précipite dans le dernier train pour Rome, pour régler cette maudite dette. De wagon en wagon, Alberto rencontre des personnages étranges et mystérieux, mais aussi des fantômes : un vieil ami devenu contrôleur, son ancienne fiancée, et finalement tous ses ancêtres. En fait, une course contre la montre est engagée, une fugue insensée qui inéluctablement entraîne Alberto vers la fin tant redoutée de son enfance.
Alberto, c'est Sergio Castellitto. Et Castellitto est formidable dans Alberto Express. Capable d'être tout à la fois complètement ordinaire et totalement disposé aux plus grands dérapages, à la plus grande folie, Castellitto s'inscrit tout naturellement dans la lignée des Manfredi et autres Sordi.
Jean-Pierre Lavoignat, Studio, septembre 1990
Il était important à mes yeux que le héros soit un étranger, qu'il franchisse une frontière. Les personnages transfuges, à mi-chemin de deux cultures, m'intéressent. [...] J'ai un rapport affectif très fort avec Rome et la langue italienne. C'est donc, là aussi, lié à mon histoire personnelle, d'autant que j'ai toujours voyagé entre Paris et Rome en train, dans le Palatino. Et le train est un moyen de transport très cinématographique qui convenait parfaitement à mon histoire. Par ailleurs, l'histoire du film me semblait plus compréhensible si elle prenait son origine dans un pays du sud, où la tradition, le sens de la famille, les codes de l'honneur sont plus vivaces.
Arthur Joffé, dossier de presse du film
ALBERTO EXPRESS
Alberto a quinze ans. Son père lui explique une étrange coutume familiale : plus tard, il devra rembourser, avant qu'il ne soit père lui-même, tout ce que son éducation a coûté depuis sa naissance. Quinze ans plus tard, à Paris, à la veille de la naissance de son premier enfant, Alberto est soudain assailli par un remords qui l'empêche de trouver le sommeil... Plus de trente millions de lires... Dans vingt-quatre heures tout au plus...
Alberto abandonne sa femme qui est sur le point d'accoucher et se précipite dans le dernier train pour Rome, pour régler cette maudite dette. De wagon en wagon, Alberto rencontre des personnages étranges et mystérieux, mais aussi des fantômes : un vieil ami devenu contrôleur, son ancienne fiancée, et finalement tous ses ancêtres. En fait, une course contre la montre est engagée, une fugue insensée qui inéluctablement entraîne Alberto vers la fin tant redoutée de son enfance.
Alberto, c'est Sergio Castellitto. Et Castellitto est formidable dans Alberto Express. Capable d'être tout à la fois complètement ordinaire et totalement disposé aux plus grands dérapages, à la plus grande folie, Castellitto s'inscrit tout naturellement dans la lignée des Manfredi et autres Sordi.
Jean-Pierre Lavoignat, Studio, septembre 1990
Il était important à mes yeux que le héros soit un étranger, qu'il franchisse une frontière. Les personnages transfuges, à mi-chemin de deux cultures, m'intéressent. [...] J'ai un rapport affectif très fort avec Rome et la langue italienne. C'est donc, là aussi, lié à mon histoire personnelle, d'autant que j'ai toujours voyagé entre Paris et Rome en train, dans le Palatino. Et le train est un moyen de transport très cinématographique qui convenait parfaitement à mon histoire. Par ailleurs, l'histoire du film me semblait plus compréhensible si elle prenait son origine dans un pays du sud, où la tradition, le sens de la famille, les codes de l'honneur sont plus vivaces.
Arthur Joffé, dossier de presse du film
- RéalisationArthur Joffé
- ScénarioArthur Joffé, Jean Louis Benoît, Christian Bilette
- ImagePhilippe Welt
- MontageMarie Castro
- MusiqueAngélique et Jean Claude Nachon
- Producteur (s)Maurice Bernart
- ProductionsAFC, Ciné Cinq
- InterprètesSergio Castellitto, Nino Manfredi, Marie Trintignant, Marco Messeri, Jeanne Moreau, Michel Aumont, Thomas Langmann, Dominique Pinon, Roland Amstutz, Eugenia Maruzzo, Denis Goldson, Angela Goodwin
- Année1990
- Durée1 h 30
- Pays de productionFrance
- CitationBonne fête, papa !