Story of ANGELA
Le film s'inspire d'une histoire vraie, mais peu importe : elle est aussi vraisemblable qu'un roman oùs'entremêlent les passions les plus fortes, l'argent, l'amour et le crime, dans la meilleure tradition du mélo.
Angela est une jeune femme sicilienne, elle est l'épouse de Saro qui cache derrière la façade d'un magasin de chaussures anodin le commerce bien plus lucratif de la drogue et des bijoux volés. Contrairement à la coutume qui veut que les femmes restent en dehors des affaires, Angela est le véritable bras droit de son mari. Elle ne rechigne même pas à prendre des risques et à effectuer des livraisons.
Un jour la bande de Saro accueille un nouvel élément, Masino, un jeune garçon beau comme un astre à qui Saro demande souvent d'accompagner Angela. Une attirance mutuelle naît entre eux, dont ils essaient pour un temps de se défendre. Mais la passion l'emporte.
Le téléphone du magasin de Saro ainsi que son domicile étaient sur table d'écoute et les les conversations des deux amants sont enregistrées et Angela est suivie quand elle se rend chez Masino. La décision est prise de mettre fin aux agissements de la bande : la police fait une descente dans le magasin et arrête tout le monde, mais seul Saro est gardé en détention. Un policier essaie de passer un marché avec Angela : il promet de faire disparaître les bobines compromettantes en échange des noms des boss de la drogue. Angela refuse. Saro est informé de sa liaison avec Masino et les menace de mort lorsqu'il sortira de prison. Les deux amants projettent de partir très loin...
« J'ai essayé de porter sur l'univers d'Angela un regard d'ethnologue plutôt que de sociologue. Je considère que le cinéma, et plus généralement l'art, ne doit pas porter de jugement moral. De plus, c'est quelque chose qui ne m'intéresse pas. J'ai voulu saisir la réalité ; parmi les gens qui gravitent dans ce monde de la petite criminalité il n'y a pas que les parrains décrits par certains films américains. Il s'agit de personnes ordinaires qui font cela comme si c'était un travail comme un autre. C'est une activité qui présente certains dangers, mais ce qui domine, c'est la monotonie des gestes, des rythmes, des horaires, c'est la routine et l'ennui. »
Roberta Torre
ANGELA
Le film s'inspire d'une histoire vraie, mais peu importe : elle est aussi vraisemblable qu'un roman oùs'entremêlent les passions les plus fortes, l'argent, l'amour et le crime, dans la meilleure tradition du mélo.
Angela est une jeune femme sicilienne, elle est l'épouse de Saro qui cache derrière la façade d'un magasin de chaussures anodin le commerce bien plus lucratif de la drogue et des bijoux volés. Contrairement à la coutume qui veut que les femmes restent en dehors des affaires, Angela est le véritable bras droit de son mari. Elle ne rechigne même pas à prendre des risques et à effectuer des livraisons.
Un jour la bande de Saro accueille un nouvel élément, Masino, un jeune garçon beau comme un astre à qui Saro demande souvent d'accompagner Angela. Une attirance mutuelle naît entre eux, dont ils essaient pour un temps de se défendre. Mais la passion l'emporte.
Le téléphone du magasin de Saro ainsi que son domicile étaient sur table d'écoute et les les conversations des deux amants sont enregistrées et Angela est suivie quand elle se rend chez Masino. La décision est prise de mettre fin aux agissements de la bande : la police fait une descente dans le magasin et arrête tout le monde, mais seul Saro est gardé en détention. Un policier essaie de passer un marché avec Angela : il promet de faire disparaître les bobines compromettantes en échange des noms des boss de la drogue. Angela refuse. Saro est informé de sa liaison avec Masino et les menace de mort lorsqu'il sortira de prison. Les deux amants projettent de partir très loin...
« J'ai essayé de porter sur l'univers d'Angela un regard d'ethnologue plutôt que de sociologue. Je considère que le cinéma, et plus généralement l'art, ne doit pas porter de jugement moral. De plus, c'est quelque chose qui ne m'intéresse pas. J'ai voulu saisir la réalité ; parmi les gens qui gravitent dans ce monde de la petite criminalité il n'y a pas que les parrains décrits par certains films américains. Il s'agit de personnes ordinaires qui font cela comme si c'était un travail comme un autre. C'est une activité qui présente certains dangers, mais ce qui domine, c'est la monotonie des gestes, des rythmes, des horaires, c'est la routine et l'ennui. »
Roberta Torre
- RéalisationRoberta Torre
- ScénarioRoberta Torre
- ImageDaniele Cipri
- MontageRoberto Missiroli
- MusiqueAndrea Guerra
- ProductionsRita Rusic Company, Movieweb avec la contribution du MiBAC
- Distribution FranceMK2
- InterprètesAndrea Di Stefano, Donatella Finocchiaro, Mario Pupella, Erasmo Lobello, Toni Gambino, Matteo Gulino
- Année2002
- Durée1h 35
- Pays de productionItalie