Story of ATTO DI DOLORE
L'intrigue du film est inspirée d'une histoire qui a réellement eu lieu à Milan, l'été1989.
Elena (Claudia Cardinale) travaille depuis des années dans le but de mener une existence digne pour elle-même et pour ses deux enfants, Alessandro et Martina, après la mort de son mari. Ce n'est que par hasard, une nuit d'hiver en 1980, qu'elle découvre que son jeune fils âgé de 16 ans, Alessandro (Karl Zinny) est un consommateur habituel d'héroïne.
À partir de cette découverte qui la prend au dépourvu et la laisse ahurie, commence le Chemin de croix de cette mère qui, dans sa tentative d'arracher son fils des griffes impitoyables de la drogue, se heurte au cynisme, à l'indifférence, la spéculation, l'hypocrisie et la violence d'un monde qu'elle ignorait complètement auparavant. Pourtant, la blessure la plus douloureuse lui est infligée, bien qu'inconsciemment, par son fils lui-même, qui, avec son comportement toujours plus distant, mensonger, agressif et cruellement égoïste, la fait sombrer dans le désespoir total et l'amène àfaire un choix fatal.
"Le film est dédié à toutes les mères qui ont vécu ce drame, qui le vivent, qui appréhendent de devoir le vivre." Claudia CARDINALE« Je n'ai pas l'intention d'avancer des thèses, ni de lancer des messages, mais tout simplement d'aider à comprendre et pour une fois laisser parler et exister "l'autre moitié du drogué". »
Pasquale Squitieri débute au cinéma avec un film financé par Vittorio De Sica en 1968, Io e Dio. Son activité de réalisateur se poursuit avec des œuvres qui se caractérisent par l'engagement social et la recherche stylistique. Invité à Villerupt en 1981, nous avons eu l'occasion de présenter : I guappi (Lucia et les Gouapes), Il prefetto di ferro (L'affaire Mori) et Corleone.ATTO DI DOLORE
ACTE D'AMOUR
L'intrigue du film est inspirée d'une histoire qui a réellement eu lieu à Milan, l'été1989.
Elena (Claudia Cardinale) travaille depuis des années dans le but de mener une existence digne pour elle-même et pour ses deux enfants, Alessandro et Martina, après la mort de son mari. Ce n'est que par hasard, une nuit d'hiver en 1980, qu'elle découvre que son jeune fils âgé de 16 ans, Alessandro (Karl Zinny) est un consommateur habituel d'héroïne.
À partir de cette découverte qui la prend au dépourvu et la laisse ahurie, commence le Chemin de croix de cette mère qui, dans sa tentative d'arracher son fils des griffes impitoyables de la drogue, se heurte au cynisme, à l'indifférence, la spéculation, l'hypocrisie et la violence d'un monde qu'elle ignorait complètement auparavant. Pourtant, la blessure la plus douleureuse lui est infligée, bien qu'inconsciemment, par son fils lui-même, qui, avec son comportement toujours plus distant, mensonger, agressif et cruellement égoïste, la fait sombrer dans le désespoir total et l'amène àfaire un choix fatal.
"Le film est dédié à toutes les mères qui ont vécu ce drame, qui le vivent, qui appréhendent de devoir le vivre."
Claudia CARDINALE
« Je n'ai pas l'intention d'avancer des thèses, ni de lancer des messages, mais tout simplement d'aider à comprendre et pour une fois laisser parler et exister "l'autre moitié du drogué". »
Pasquale Squitieri débute au cinéma avec un film financé par Vittorio De Sica en 1968, Io e Dio. Son activité de réalisateur se poursuit avec des œuvres qui se caractérisent par l'engagement social et la recherche stylistique. Invité à Villerupt en 1981, nous avons eu l'occasion de présenter : I guappi (Lucia et les Gouapes), Il prefetto di ferro (L'affaire Mori) et Corleone.
- RéalisationPasquale Squitieri
- ScénarioPasquale Squitieri, Sergio Blanchi, Nanni Balestrini
- ImageRomano Albani
- MontageFiorenza Müller
- MusiqueOrchestre de la R.A.I. dirigé par Carlo Maria Giulini - D'après "Stabat Mater" de Giuseppe Rossini
- ProductionsVidi Produzione, Istituto Luce, Italnoleggio Cinematografico, Rai Due,
- Distribution FranceArtedis
- InterprètesClaudia Cardinale, Bruno Cremer, Karl Zinny, Giulia Boschi, Tanja Alexander, Clara Colosomo, Même Perlini
- Année1990
- Durée1h 49
- Pays de productionItalie