Story of BANANA
Giovanni (Marco Todisco) a 14 ans et il est convaincu que le bonheur existe : il lui suffit de regarder jouer l’équipe de football du Brésil, virtuose, toute à l’attaque, pour ne pas avoir l’ombre d’un doute. Il arbore d’ailleurs son maillot jaune, ce qui lui vaut le surnom de Banana. Tant pis si ses longs dribbles ne finissent jamais par un but : du moins il n’est pas comme ces minables qui ne savent jouer que la défense. Banana tombe amoureux à sa façon de Jessica (Beatrice Modica), une jolie fille de sa classe, plus âgée que lui car elle a déjà redoublé, et ça risque de se reproduire. Ce serait un drame pour Banana que Jessica ne soit plus dans sa classe l’année suivante. Il s’emploie par tous les moyens pour l’aider à avoir la moyenne avec Madame Colonna (Anna Bonaiuto) la terrible prof d’italien. Il invente tout un tas de systèmes ingénieux et tant pis si ça ne marche jamais. Du moins il aura tenté. Ne se sent-il pas « brésilien » ?
« À première vue, ce film est l'histoire d'un garçon qui fait tout pour séduire une fille.
Mais plus fondamentalement il met en scène un jeune adolescent qui n'a pas envie de voir sa vie lui échapper. Et si presque tous les personnages de cette histoire agissent comme si la vie ne valait pas qu’on se donne du mal à un moment ou à un autre, pour Banana c’est différent. Il comprend quelle est sa place dans le monde. Il est convaincu du rôle de la beauté, de la grandeur et de la profondeur de la vie.
Banana est aussi l'histoire d'un jeune adolescent capable de faire renaître un adulte. Parce que cette histoire veut aussi, et surtout, parler des adultes. Banana donnerait tout pour avoir un mentor à ses côtés, un grand qui lui expliquerait comment les choses se passent. Mais ce n’est pas le cas car dans cette histoire même les adultes se sentent quelquefois malheureux et un peu perdus. Banana ne deviendra grand qu’en se prenant, peut-être, en charge tout seul. »
Andrea Jublin, Dossier de presse
Andrea Jublin est turinois, il a fait des études de Sciences Politiques. Il est également diplômé de l'école d’art dramatique du Teatro Stabile de Gênes et a travaillé dans différents spectacles de cette institution. Il a en outre suivi les cours d’écriture scénaristique dispensés par la RAI à Rome. Banana est son premier long-métrage.
BANANA
Giovanni (Marco Todisco) a 14 ans et il est convaincu que le bonheur existe : il lui suffit de regarder jouer l’équipe de football du Brésil, virtuose, toute à l’attaque, pour ne pas avoir l’ombre d’un doute. Il arbore d’ailleurs son maillot jaune, ce qui lui vaut le surnom de Banana. Tant pis si ses longs dribbles ne finissent jamais par un but : du moins il n’est pas comme ces minables qui ne savent jouer que la défense. Banana tombe amoureux à sa façon de Jessica (Beatrice Modica), une jolie fille de sa classe, plus âgée que lui car elle a déjà redoublé, et ça risque de se reproduire. Ce serait un drame pour Banana que Jessica ne soit plus dans sa classe l’année suivante. Il s’emploie par tous les moyens pour l’aider à avoir la moyenne avec Madame Colonna (Anna Bonaiuto) la terrible prof d’italien. Il invente tout un tas de systèmes ingénieux et tant pis si ça ne marche jamais. Du moins il aura tenté. Ne se sent-il pas « brésilien » ?
« À première vue, ce film est l'histoire d'un garçon qui fait tout pour séduire une fille.
Mais plus fondamentalement il met en scène un jeune adolescent qui n'a pas envie de voir sa vie lui échapper. Et si presque tous les personnages de cette histoire agissent comme si la vie ne valait pas qu’on se donne du mal à un moment ou à un autre, pour Banana c’est différent. Il comprend quelle est sa place dans le monde. Il est convaincu du rôle de la beauté, de la grandeur et de la profondeur de la vie.
Banana est aussi l'histoire d'un jeune adolescent capable de faire renaître un adulte. Parce que cette histoire veut aussi, et surtout, parler des adultes. Banana donnerait tout pour avoir un mentor à ses côtés, un grand qui lui expliquerait comment les choses se passent. Mais ce n’est pas le cas car dans cette histoire même les adultes se sentent quelquefois malheureux et un peu perdus. Banana ne deviendra grand qu’en se prenant, peut-être, en charge tout seul. »
Andrea Jublin, Dossier de presse
Andrea Jublin est turinois, il a fait des études de Sciences Politiques. Il est également diplômé de l'école d’art dramatique du Teatro Stabile de Gênes et a travaillé dans différents spectacles de cette institution. Il a en outre suivi les cours d’écriture scénaristique dispensés par la RAI à Rome. Banana est son premier long-métrage.
- RéalisationAndrea Jublin
- ScénarioAndrea Jublin
- ImageGherardo Gossi
- MontageEsmeralda Calabria
- MusiqueNicola Piovani
- Producteur (s)Ginevra Elkann, Francesco Melzi D’Eril, Donatella Palermo, Bernard Tanguy, Jean-Charles Mille
- ProductionsGood Films, Stemal Entertainment, Rai Cinema, Garance Capital, avec la contribution du MiBACT et le soutien de Regione Lazio
- Distribution FrancePremium Films
- InterprètesMarco Todisco, Beatrice Modica, Camilla Filippi, Gianfelice Imparato, Giselda Volodi, Anna Bonaiuto, Giorgio Colangeli
- Année2015
- Durée1h 25
- Pays de productionItalie
- FormatVOST
- CitationJe pense que le bonheur c’est lorsqu’on essaye de prendre ce qu’il y a de grandiose dans la vie, même s’il faut franchir de nombreux obstacles.