Story of BONUS MALUS
Marco Altoviti, inspecteur dans une compagnie d'assurances, sans racines intellectuelles et idéologiques, visite, chaque jour, une agence dans une ville différente, pour des raisons de travail. Sa vie, réglée comme les aiguilles d'une montre, sera bouleversée en deux semaines par une série de petits incidents et quelques personnages.
Il y a Baldini, l'agent de Grosseto qui joue peut-être double jeu avec une compagnie concurrente ; Cecchi, l'agent de Viareggio, qui doit se défendre de la concurrence de son propre fils ; Bertini, l'agent de Montecatini, qui regrette les valeurs du passé ; Gambacciani, l'agent de Sienne, plus occupé à raconter ses exploits amoureux qu'à gérer ses polices, et puis Madame Carletti, le grand patron du siège central de Florence, qui propose à Marco une "mission" de rénovation et de modernisation. Enfin il y a les personnages de la vie privée de Marco : son ami Andréa, Nedo, un portier d'hôtel, Cristina son ex-fiancée, ses parents "comme il faut", sa secrétaire et puis Valeria un nouvel amour.
Des histoires banales où personne n'est tout à fait bon ou méchant et qui s'entrelacent dans une suite de petits coups de théâtre et d'événements inattendus. Des situations qui entraînent Marco vers une remise en question progressive. Prise de conscience ? Peut-être. En tout cas, un petit dérèglement de cette horloge qui fonctionne parfaitement.
« J'espère que Bonus malus n 'est pas un film mignon mais plutôt désagréable, qu'il ne soit pas réconciliateur malgré son style comédie amère, qu'il puisse être lu de plusieurs manières et à plusieurs niveaux, qu 'il parle de la société italienne et du moment particulier qu'elle traverse sans être "social-réaliste" ou "dénonciateur… »
J'aimerais que l'on rit, même d'un rire grinçant, parce que la seule manière d'interpréter la réalité et la société d'aujourd'hui, c'est l'ironie, le ton tragicomique, le rire sardonique. "
Vito Zagarrio
Vito Zagarrio est né en 1952. Diplômé du Centra Sperimentale di Cinematografia, il a également fait des études de cinéma à New York. Parallèlement à son activité de réalisateur, il s'est occupé de critique cinéma et du Festival "Cinéma Nuovo " de Pesaro. Bonus malus est son second long métrage après La donna della luna (1987).
BONUS MALUS
Marco Altoviti, inspecteur dans une compagnie d'assurances, sans racines intellectuelles et idéologiques, visite, chaque jour, une agence dans une ville différente, pour des raisons de travail. Sa vie, réglée comme les aiguilles d'une montre, sera bouleversée en deux semaines par une série de petits incidents et quelques personnages.
Il y a Baldini, l'agent de Grosseto qui joue peut-être double jeu avec une compagnie concurrente ; Cecchi, l'agent de Viareggio, qui doit se défendre de la concurrence de son propre fils ; Bertini, l'agent de Montecatini, qui regrette les valeurs du passé ; Gambacciani, l'agent de Sienne, plus occupé à raconter ses exploits amoureux qu'à gérer ses polices, et puis Madame Carletti, le grand patron du siège central de Florence, qui propose à Marco une "mission" de rénovation et de modernisation. Enfin il y a les personnages de la vie privée de Marco : son ami Andréa, Nedo, un portier d'hôtel, Cristina son ex-fiancée, ses parents "comme il faut", sa secrétaire et puis Valeria un nouvel amour.
Des histoires banales où personne n'est tout à fait bon ou méchant et qui s'entrelacent dans une suite de petits coups de théâtre et d'événements inattendus. Des situations qui entraînent Marco vers une remise en question progressive. Prise de conscience ? Peut-être. En tout cas, un petit dérèglement de cette horloge qui fonctionne parfaitement.
« J'espère que Bonus malus n 'est pas un film mignon mais plutôt désagréable, qu'il ne soit pas réconciliateur malgré son style comédie amère, qu'il puisse être lu de plusieurs manières et à plusieurs niveaux, qu 'il parle de la société italienne et du moment particulier qu'elle traverse sans être "social-réaliste" ou "dénonciateur… »
J'aimerais que l'on rit, même d'un rire grinçant, parce que la seule manière d'interpréter la réalité et la société d'aujourd'hui, c'est l'ironie, le ton tragicomique, le rire sardonique. "
Vito Zagarrio
- RéalisationVito Zagarrio
- ScénarioEnzo Monteleone, Francesco Bruni, Luigi Guarnieri, Vito Zagarrio
- ImageRenato Tafuri
- MontageCecilia Zanuso
- MusiqueLitflba
- Producteur (s)Vito Zagarrio
- ProductionsCavadalida, Surf Film, Istituto Luce
- InterprètesClaudio Bigagli, Gigio Alberti, Felice Andreasi, Claudio Bisio, Giulia Boschi, Claudio Botosso, Athina Cenci, Francesca D'Aloja
- Année1993
- Durée1h 30
- Pays de productionItalie