Story of CALLAS FOREVER
En 1977, Maria Callas, la plus grande star lyrique que le monde ait jamais connue, vit les derniers mois de son existence, recluse dans son appartement parisien. Bien que sa voix ne soit plus celle de ses belles années, un ami producteur Larry Kelly, lui propose de chanter Carmen dans un grand concert télévisé, en synchronisant grâce aux nouvelles technologies, sa voix lorsqu'elle était plus jeune, aux images actuelles. Maria accepte de se soumettre malgréles avertissements de Sarah, son amie journaliste.
Larry profite de l'engouement du public pour convaincre Maria de se prêter de nouveau àcet exercice avec une version de concert de Tosca. Mais Maria exige cette fois-ci de chanter avec sa voix d'aujourd'hui, ne supportant pas de poursuivre dans le mensonge. Larry refuse. C'est le drame. Elle a 54 ans, la mort l'attend au bout du chemin.
"Fanny Ardant, qui incarne le personnage, s'avère convaincante, troublante, notamment dans quelques scènes décrivant le désarroi et la déchéance de la diva, où Zeffirelli prouve qu'il a retenu quelques-unes des leçons de son maître Luchino Visconti. "
Vincent Osteria, l'Humanité
CALLAS FOREVER
En 1977, Maria Callas, la plus grande star lyrique que le monde ait jamais connue, vit les derniers mois de son existence, recluse dans son appartement parisien. Bien que sa voix ne soit plus celle de ses belles années, un ami producteur Larry Kelly, lui propose de chanter Carmen dans un grand concert télévisé, en synchronisant grâce aux nouvelles technologies, sa voix lorsqu'elle était plus jeune, aux images actuelles. Maria accepte de se soumettre malgréles avertissements de Sarah, son amie journaliste.
Larry profite de l'engouement du public pour convaincre Maria de se prêter de nouveau àcet exercice avec une version de concert de Tosca. Mais Maria exige cette fois-ci de chanter avec sa voix d'aujourd'hui, ne supportant pas de poursuivre dans le mensonge. Larry refuse. C'est le drame. Elle a 54 ans, la mort l'attend au bout du chemin.
"Fanny Ardant, qui incarne le personnage, s'avère convaincante, troublante, notamment dans quelques scènes décrivant le désarroi et la déchéance de la diva, où Zeffirelli prouve qu'il a retenu quelques-unes des leçons de son maître Luchino Visconti. "
Vincent Osteria, l'Humanité
- RéalisationFranco Zeffirelli
- ScénarioFranco Zeffirelli, Martin Sherman
- ImageEnnio Guarnieri
- MontageSean Barton
- MusiqueAlessio Ulad
- Producteur (s)Riccardo Tozzi, Giovannella Zannoni
- ProductionsCattleya, Médusa Film, Alquimia Cinéma (Madrid), Business Affair (London), Galfin (Paris), Média Pro Pictures (Romania)
- Distribution FranceBAC Film
- InterprètesFanny Ardant, Jeremy Irons, Joan Plowright, Angela Molina, Jay Rodan, Gabriel Garko
- Année2002
- Durée1h 50
- Pays de productionItalie, France, Espagne, Grande Bretagne, Roumanie