Story of CI VUOLE UN GRAN FISICO
50 ans, c’est un âge critique, surtout pour les femmes, c’est bien connu. Eva (Angela Finocchiaro) en fait l’amère expérience. Elle est vendeuse dans une parfumerie et elle commence à craindre la concurrence impitoyable de collègues plus jeunes, plus aguerries et surtout plus attirantes. Le spectre du licenciement la hante, d’autant plus qu’elle a charge d’âme : séparée de son mari (Stefano Belisari), envahissant malgré tout, elle s’occupe de sa fille Francesca (Antonella Lo Coco) qui ne rêve que de musique et de sa mère (Rosalina Neri) qui a un regain de vitalité. Eva réagit en essayant d’être parfaite, mais c’est là que l’on court le risque de faire le plus de gaffes… Heureusement, Angelo le bien nommé (Giovanni Storti) veille sur elle…
Angela Finocchiaro porte tout le film, avec ses répliques cinglantes et une forte dose d’auto-ironie. Sophie Chiarello joue sur le rythme grâce au montage avisé de Marco Spoletini. Elle mêle les nuances de couleurs et des décors très suggestifs. À mi-chemin entre comédie musicale, mélodrame sentimental, journal d’une ménagère au bord de la crise de nerfs […] le film débouche sur la revendication du plaisir à tout âge. Et se sentir désirée vaut mieux que n’importe quel antidépresseur.
Cristina Piccino, il manifesto, 8 mars 2013
Nous avons connu Sophie Chiarello en 2012 grâce à son documentaire Ritals – domani me ne vado, alors qu’elle avait déjà une longue carrière d’assistante auprès de Massimo Venier, Edoardo Winspeare, Kim Rossi Stuart et Giuseppe Piccioni. Ci vuole un gran fisico est son premier long-métrage de fiction.
CI VUOLE UN GRAN FISICO
50 ans, c’est un âge critique, surtout pour les femmes, c’est bien connu. Eva (Angela Finocchiaro) en fait l’amère expérience. Elle est vendeuse dans une parfumerie et elle commence à craindre la concurrence impitoyable de collègues plus jeunes, plus aguerries et surtout plus attirantes. Le spectre du licenciement la hante, d’autant plus qu’elle a charge d’âme : séparée de son mari (Stefano Belisari), envahissant malgré tout, elle s’occupe de sa fille Francesca (Antonella Lo Coco) qui ne rêve que de musique et de sa mère (Rosalina Neri) qui a un regain de vitalité. Eva réagit en essayant d’être parfaite, mais c’est là que l’on court le risque de faire le plus de gaffes… Heureusement, Angelo le bien nommé (Giovanni Storti) veille sur elle…
Angela Finocchiaro porte tout le film, avec ses répliques cinglantes et une forte dose d’auto-ironie. Sophie Chiarello joue sur le rythme grâce au montage avisé de Marco Spoletini. Elle mêle les nuances de couleurs et des décors très suggestifs. À mi-chemin entre comédie musicale, mélodrame sentimental, journal d’une ménagère au bord de la crise de nerfs […] le film débouche sur la revendication du plaisir à tout âge. Et se sentir désirée vaut mieux que n’importe quel antidépresseur.
Cristina Piccino, il manifesto, 8 mars 2013
Nous avons connu Sophie Chiarello en 2012 grâce à son documentaire Ritals – domani me ne vado, alors qu’elle avait déjà une longue carrière d’assistante auprès de Massimo Venier, Edoardo Winspeare, Kim Rossi Stuart et Giuseppe Piccioni. Ci vuole un gran fisico est son premier long-métrage de fiction.
- RéalisationSophie Chiarello
- ScénarioValerio Bariletti, Walter Fontana, Pasquale Plastino
- ImageGianni Fiore Coltellacci
- MontageMarco Spoletini
- MusiqueValerio Carboni
- Producteur (s)Paolo Guerra
- ProductionsAGIDI, Medusa Film, avec le soutien de la Film Commission Torino Piemonte
- InterprètesAngela Finocchiaro, Raul Cremona, Stefano Belisari, Jurij Ferrini, Rosalina Neri, Giovanni Storti, Franco Barbero, Jacopo Maria Bicocchi, Aldo Baglio, Paolo Guerra, Paolo Hendel
- Année2013
- Durée1h 30
- Pays de productionItalie
- FormatVOST
- CitationRépétez après moi : je ne suis pas vieille !