Story of CUORE SACRO
Le père d’Irene était un promoteur immobilier fortuné. À sa mort, il a laissé son entreprise à sa fille qui, à son tour, la fait prospérer avec l’aide de sa tante Eleonora. Les deux femmes ne s’encombrent pas de scrupules, seul le résultat compte, et il s’évalue en argent.
Irene voudrait réaliser un programme immobilier lucratif à partir de l’ancienne demeure de sa famille. En revisitant l’appartement de son enfance, elle redécouvre la chambre de sa mère. Elle était morte dans des circonstances mystérieuses alors qu’Irène était encore jeune. La chambre est restée telle quelle, avec sa collection d’objets rituels et des phrases incompréhensibles sur les murs. Pour Irene, c’est un choc.
En sortant, elle tombe sur des clochards qui se disputent. Elle prend la défense d’une fillette, Benny, qui se révèle être une voleuse, mais qui l’introduit peu à peu dans un monde qu’elle ignorait, autour d’elle et en elle.
Benny meurt dans un accident de la circulation mais la crise qu’elle a contribué à ouvrir dans le cœur d’Irene devient chaque jour plus profonde et l’amène à la conversion. Elle décide que l’ancienne demeure familiale deviendra un centre d’accueil pour tous les laissés pour compte. Malgré les mises en garde de la hiérarchie catholique, Irene poursuit seule sa quête du bien.
Ferzan Özpetek part d'évènements biographiques (la disparition d’êtres chers) pour se questionner sur le destin de l'homme après la mort : « Quel est le sens de la vie ? Où vont ceux qui meurent ? Ces questions - affirme le réalisateur - ont déterminé la réalisation de Cuore sacro, mon film le plus difficile ».
Le film, en effet, quoique partiellement abouti, est courageux. Sur le même thème que Roberto Rossellini (Europe '51), le réalisateur italo-turc met en scène le parcours d'Irene : de la logique implacable de l’entreprise à l'ouverture inconditionnelle aux autres par le biais de l'assistance aux déshérités et aux marginaux. Un parcours qui a beaucoup d'analogies avec celui de Saint François.
Federico Pontiggia, Cinematografo, 25 février 2005
CUORE SACRO
Le père d’Irene était un promoteur immobilier fortuné. À sa mort, il a laissé son entreprise à sa fille qui, à son tour, la fait prospérer avec l’aide de sa tante Eleonora. Les deux femmes ne s’encombrent pas de scrupules, seul le résultat compte, et il s’évalue en argent.
Irene voudrait réaliser un programme immobilier lucratif à partir de l’ancienne demeure de sa famille. En revisitant l’appartement de son enfance, elle redécouvre la chambre de sa mère. Elle était morte dans des circonstances mystérieuses alors qu’Irène était encore jeune. La chambre est restée telle quelle, avec sa collection d’objets rituels et des phrases incompréhensibles sur les murs. Pour Irene, c’est un choc.
En sortant, elle tombe sur des clochards qui se disputent. Elle prend la défense d’une fillette, Benny, qui se révèle être une voleuse, mais qui l’introduit peu à peu dans un monde qu’elle ignorait, autour d’elle et en elle.
Benny meurt dans un accident de la circulation mais la crise qu’elle a contribué à ouvrir dans le cœur d’Irene devient chaque jour plus profonde et l’amène à la conversion. Elle décide que l’ancienne demeure familiale deviendra un centre d’accueil pour tous les laissés pour compte. Malgré les mises en garde de la hiérarchie catholique, Irene poursuit seule sa quête du bien.
Ferzan Özpetek part d'évènements biographiques (la disparition d’êtres chers) pour se questionner sur le destin de l'homme après la mort : « Quel est le sens de la vie ? Où vont ceux qui meurent ? Ces questions - affirme le réalisateur - ont déterminé la réalisation de Cuore sacro, mon film le plus difficile ».
Le film, en effet, quoique partiellement abouti, est courageux. Sur le même thème que Roberto Rossellini (Europe '51), le réalisateur italo-turc met en scène le parcours d'Irene : de la logique implacable de l’entreprise à l'ouverture inconditionnelle aux autres par le biais de l'assistance aux déshérités et aux marginaux. Un parcours qui a beaucoup d'analogies avec celui de Saint François.
Federico Pontiggia, Cinematografo, 25 février 2005
- RéalisationFerzan Özpetek
- ScénarioFerzan Özpetek, Gianni Romoli
- ImageGian Filippo Corticelli
- MontagePatrizio Marone
- MusiqueAndrea Guerra
- Producteur (s)Tilde Corsi, Gianni Romoli
- ProductionsR & C Production
- Vente à l’étrangerCelluloid Dreams
- InterprètesBarbora Bobulova, Andrea Di Stefano, Massimo Poggio, Lisa Gastoni, Camille Dugay Comencini, Erica Blanc, Michela Cescon, Stefania Spugnini
- Année2005
- Durée1h 57
- Pays de productionItalie
- FormatVOST