Story of DUE EURO L’ORA
Italie du Sud. Gladys (Chiara Baffi) a la quarantaine et travaille au noir dans un sous-sol en compagnie d’autres femmes pour gagner ces fameux « 2 € de l’heure ». Oui mais voilà, rien n’est bien simple pour ces femmes qui vivent, ou survivent, à la botte de leur patron, Blasi (Peppe Servillo), hautain et plus intéressé par le rendement des couturières que par leur bien-être. Elles ne sont que des travailleuses sans valeur ; et c’est dans ce monde-là que Rosa (Alessandra Mascarucci), 17 ans, arrive. Elle veut arrêter ses études et s’imagine un bel avenir en Suisse avec son petit ami. Dans cet enfer caché, vaut-il mieux se battre pour survivre ou survivre pour se battre ? Gladys et Rosa, toutes les deux en proie au doute, deviennent amies.
« Pour écrire Due euro l’ora, Donata Carelli et moi nous sommes inspirés de l’histoire de Giovanna Curcio et Annamaria Mercadante, un fait divers qui a eu lieu en 2006 dans le sud de la Campanie.
L'idée initiale était de représenter le manque de travail, mais nous avons abouti à une représentation du travail tel qu’il est aujourd’hui, à travers les histoires de femmes qui espèrent que leur vie puisse changer, même dans un pays qui ne change pas.
Due euro l’ora parle du Sud. C'est un film sur le travail, sur l'amour et sur l'adolescence qui passe. »
Andrea D’Ambrosio, Dossier de presse
Andrea D’Ambrosio (1975) est diplômé de la Nuova università del cinema e della televisione de Rome, où il a suivi les cours de scénario et de réalisation de Giuseppe De Santis, Ettore Scola et Ugo Pirro. Depuis 1998 il a tourné de nombreux documentaires et a participé à la réalisation de Biutiful cauntry (2008). Due euro l’ora est son premier film de fiction.
DUE EURO L’ORA
Italie du Sud. Gladys (Chiara Baffi) a la quarantaine et travaille au noir dans un sous-sol en compagnie d’autres femmes pour gagner ces fameux « 2 € de l’heure ». Oui mais voilà, rien n’est bien simple pour ces femmes qui vivent, ou survivent, à la botte de leur patron, Blasi (Peppe Servillo), hautain et plus intéressé par le rendement des couturières que par leur bien-être. Elles ne sont que des travailleuses sans valeur ; et c’est dans ce monde-là que Rosa (Alessandra Mascarucci), 17 ans, arrive. Elle veut arrêter ses études et s’imagine un bel avenir en Suisse avec son petit ami. Dans cet enfer caché, vaut-il mieux se battre pour survivre ou survivre pour se battre ? Gladys et Rosa, toutes les deux en proie au doute, deviennent amies.
« Pour écrire Due euro l’ora, Donata Carelli et moi nous sommes inspirés de l’histoire de Giovanna Curcio et Annamaria Mercadante, un fait divers qui a eu lieu en 2006 dans le sud de la Campanie.
L'idée initiale était de représenter le manque de travail, mais nous avons abouti à une représentation du travail tel qu’il est aujourd’hui, à travers les histoires de femmes qui espèrent que leur vie puisse changer, même dans un pays qui ne change pas.
Due euro l’ora parle du Sud. C'est un film sur le travail, sur l'amour et sur l'adolescence qui passe. »
Andrea D’Ambrosio, Dossier de presse
Andrea D’Ambrosio (1975) est diplômé de la Nuova università del cinema e della televisione de Rome, où il a suivi les cours de scénario et de réalisation de Giuseppe De Santis, Ettore Scola et Ugo Pirro. Depuis 1998 il a tourné de nombreux documentaires et a participé à la réalisation de Biutiful cauntry (2008). Due euro l’ora est son premier film de fiction.
- RéalisationAndrea D’Ambrosio
- ScénarioAndrea D’Ambrosio et Donata Carelli, d’après le fait divers « Bimaltex » de Montesano (2006)
- ImageGiulio Pietromarchi
- MontageGiogiò Franchini
- MusiqueFausto Mesolella
- Producteur (s)Enzo Porcelli, Maurizio Fiume
- ProductionsRai Cinema, avec la contribution du MiBACT
- InterprètesPeppe Servillo, Chiara Baffi, Paolo Gasparini, Alessandra Mascarucci, Massimo De Matteo, Antonella Morea, Lello Serao, Marianna Mercurio
- Année2016
- Durée1h 16
- Pays de productionItalie
- FormatVOST
- CitationMême si tu es la plus jeune, au travail, tu y arrives à l’heure !