Story of FANGO E GLORIA
Mario (Eugenio Franceschini), Agnese (Valentina Corti), sa fiancée et leur ami Emilio (Francesco Martino) vivent dans une petite ville de la côte adriatique. Ils ont vingt ans. Ils sont insouciants et confiants en leur avenir. Mais nous sommes en juin 1914 et à Sarajevo un jeune homme de leur âge tue l’archiduc François-Ferdinand, héritier de l'Empire austro-hongrois, et son épouse. La machine infernale de la guerre entre les grandes puissances européennes se met en marche.
Dans un premier temps l’Italie reste neutre, mais des manifestations éclatent pour réclamer l’entrée en guerre contre l’Autriche, l’ennemi héréditaire, afin de parfaire l’unité de la nation en conquérant Trente et Trieste qui sont encore terres d’empire. Au printemps 1915 l’Italie entre dans le conflit. Mario et Emilio sont mobilisés alors qu’Agnese est obligée de trouver du travail à Milan dans une usine d’armement. Leurs destins rejoignent ainsi ceux de millions de jeunes gens entraînés dans la tourmente.
La Grande Guerre, atroce et absurde, premier acte d’une mondialisation, fut une tempête d’acier qui a dévasté l’Europe et qui rien qu’en Italie a fait 650 000 victimes et au bas mot un million de blessés. Ce fut le premier conflit où se mêlèrent l’industrie, les machines et les hommes, les interventionnistes comme les pacifistes, les socialistes comme les nationalistes, les analphabètes comme les grands intellectuels.
Pour raconter cette guerre, Fango e Gloria amalgame des séquences de fiction et des archives et crée une interaction constante entre ces deux types d’images. De ce fait, les images d’archives ne renvoient pas comme traditionnellement au passé, à ce qui a été, au témoignage froid et incontestable de l’événement. Elles interviennent dans la reconstruction fictionnelle et lui apportent toute la charge pathétique de la réalité et la marque de la vraisemblance.
Les personnages font de constants allers et retours du monde de la fiction qui les met en scène à celui des archives.
Leonardo Tiberi, Dossier de presse du film
Leonardo Tiberi (Rome, 1948) a été l’un des dirigeants de San Paolo Audiovisivi avant de passer à l’Istituto Luce dont il dirige les productions. Il réalise aussi plusieurs documentaires en utilisant les archives de Luce.
FANGO E GLORIA
Mario (Eugenio Franceschini), Agnese (Valentina Corti), sa fiancée et leur ami Emilio (Francesco Martino) vivent dans une petite ville de la côte adriatique. Ils ont vingt ans. Ils sont insouciants et confiants en leur avenir. Mais nous sommes en juin 1914 et à Sarajevo un jeune homme de leur âge tue l’archiduc François-Ferdinand, héritier de l'Empire austro-hongrois, et son épouse. La machine infernale de la guerre entre les grandes puissances européennes se met en marche.
Dans un premier temps l’Italie reste neutre, mais des manifestations éclatent pour réclamer l’entrée en guerre contre l’Autriche, l’ennemi héréditaire, afin de parfaire l’unité de la nation en conquérant Trente et Trieste qui sont encore terres d’empire. Au printemps 1915 l’Italie entre dans le conflit. Mario et Emilio sont mobilisés alors qu’Agnese est obligée de trouver du travail à Milan dans une usine d’armement. Leurs destins rejoignent ainsi ceux de millions de jeunes gens entraînés dans la tourmente.
La Grande Guerre, atroce et absurde, premier acte d’une mondialisation, fut une tempête d’acier qui a dévasté l’Europe et qui rien qu’en Italie a fait 650 000 victimes et au bas mot un million de blessés. Ce fut le premier conflit où se mêlèrent l’industrie, les machines et les hommes, les interventionnistes comme les pacifistes, les socialistes comme les nationalistes, les analphabètes comme les grands intellectuels.
Pour raconter cette guerre, Fango e Gloria amalgame des séquences de fiction et des archives et crée une interaction constante entre ces deux types d’images. De ce fait, les images d’archives ne renvoient pas comme traditionnellement au passé, à ce qui a été, au témoignage froid et incontestable de l’événement. Elles interviennent dans la reconstruction fictionnelle et lui apportent toute la charge pathétique de la réalité et la marque de la vraisemblance.
Les personnages font de constants allers et retours du monde de la fiction qui les met en scène à celui des archives.
Leonardo Tiberi, Dossier de presse du film
Leonardo Tiberi (Rome, 1948) a été l’un des dirigeants de San Paolo Audiovisivi avant de passer à l’Istituto Luce dont il dirige les productions. Il réalise aussi plusieurs documentaires en utilisant les archives de Luce.
- RéalisationLeonardo Tiberi
- ScénarioLeonardo Tiberi, Salvatore De Mola
- ImageStefano Paradiso
- MontageLuca Onorati
- MusiqueBaptiste Allard
- Producteur (s)Maurizio Tedesco
- ProductionsBaires Produzioni, Isituto Luce Cinecittà, avec la contribution du MiBACT,avec le soutien de Regione Veneto, sous le patronage de la Présidence duConseil et du Ministère de la Défense, sous le haut patronage du Présidentde la République
- Vente à l’étrangerRai Com
- InterprètesEugenio Franceschini, Valentina Corti, Domenico Fortunato, Francesco Martino, Alberto Lo Porto, Michele Vigilante, Federico Tolardo, Vincenzo Guaglione, Isabella Caserta, Roberto Vandelli, Maria Cristina Bellelli, Ernesto Aliberti, Arnaldo Pernigo
- Année2014
- Durée1h 30
- Pays de productionItalie
- FormatVOST
- CitationSelon toi, ce coup de feu va changer le monde ?