Story of LA STOFFA DEI SOGNI
Au cours d'une terrible tempête, le bateau transportant vers le pénitencier de l’Asinara des camorristes, fait naufrage devant l’île. À bord il y a une petite troupe théâtrale. Les rescapés sont récupérés par les gardes, mais sous la menace du boss Aloisi (Renato Carpentieri), le directeur de la troupe, Oreste Campese (Sergio Rubini), est contraint de dire que tous sont ses comédiens. Comme le directeur (Ennio Fantastichini) ne peut distinguer les criminels des autres, il ordonne à Campese de monter un spectacle de façon à voir qui sont les faux comédiens. Le choix s'arrête sur La tempête de Shakespeare, traduite en napolitain car c’est leur seule langue commune. Les répétitions commencent sous la surveillance du directeur.
« J’ai voulu reprendre le sujet d’Eduardo De Filippo pour La stoffa dei sogni, en faisant un film pensé pour le public. Un film honnête avec plusieurs niveaux de lecture : l’un plus compliqué, à cause des références aux auteurs dont il s’inspire, Shakespeare et De Filippo, l’autre plus léger sur le ton de la comédie. Un esprit populaire, et un autre plus intellectuel. J’avais cette histoire à cœur depuis longtemps, j’ai une grande familiarité avec ce texte. En 1984-1985 De Filippo a traduit La tempête de Shakespeare et j’ai été son technicien du son pour l’enregistrement des voix. […] Et quand l’Asinara est devenu un parc accessible au public, je m’y suis rendu tout de suite. J’y ai trouvé le concept de lieu hors du monde, mais en même temps proche du monde de Shakespeare. Un lieu onirique dans une nature non contaminée »
Gianfranco Cabiddu, propos recueillis par Carlo Poddighe, Cinemecum, 23 novembre 2017
LA STOFFA DEI SOGNI
Au cours d'une terrible tempête, le bateau transportant vers le pénitencier de l’Asinara des camorristes, fait naufrage devant l’île. À bord il y a une petite troupe théâtrale. Les rescapés sont récupérés par les gardes, mais sous la menace du boss Aloisi (Renato Carpentieri), le directeur de la troupe, Oreste Campese (Sergio Rubini), est contraint de dire que tous sont ses comédiens. Comme le directeur (Ennio Fantastichini) ne peut distinguer les criminels des autres, il ordonne à Campese de monter un spectacle de façon à voir qui sont les faux comédiens. Le choix s'arrête sur La tempête de Shakespeare, traduite en napolitain car c’est leur seule langue commune. Les répétitions commencent sous la surveillance du directeur.
« J’ai voulu reprendre le sujet d’Eduardo De Filippo pour La stoffa dei sogni, en faisant un film pensé pour le public. Un film honnête avec plusieurs niveaux de lecture : l’un plus compliqué, à cause des références aux auteurs dont il s’inspire, Shakespeare et De Filippo, l’autre plus léger sur le ton de la comédie. Un esprit populaire, et un autre plus intellectuel. J’avais cette histoire à cœur depuis longtemps, j’ai une grande familiarité avec ce texte. En 1984-1985 De Filippo a traduit La tempête de Shakespeare et j’ai été son technicien du son pour l’enregistrement des voix. […] Et quand l’Asinara est devenu un parc accessible au public, je m’y suis rendu tout de suite. J’y ai trouvé le concept de lieu hors du monde, mais en même temps proche du monde de Shakespeare. Un lieu onirique dans une nature non contaminée »
Gianfranco Cabiddu, propos recueillis par Carlo Poddighe, Cinemecum, 23 novembre 2017
- RéalisationGianfranco Cabiddu
- ScénarioGianfranco Cabiddu, Ugo Chiti, Salvatore De Mola, librement inspiré de L'arte della commedia d'Eduardo De Filippo et de sa traduction en napolitain de La Tempête de William Shakespeare
- ImageVincenzo Carpineta
- MontageAlessio Doglione
- MusiqueFranco Piersanti
- Producteur (s)Isabella Cocuzza, Arturo Paglia
- ProductionsPaco Cinematografica, Rai Cinema, avec la contribution du MiBACT et le soutien de Fondazione Sardegna Film Commission, Regione Autonoma della Sardegna, Regione Lazio
- InterprètesSergio Rubini, Ennio Fantastichini, Alba Gaïa Kraghede Bellugi, Renato Carpentieri, Francesco Di Leva, Ciro Petrone, Teresa Saponangelo, Luca De Filippo, Nicola Di Pinto, Jacopo Cullin, Fiorenzo Mattu
- Année2015
- Durée1h 43
- Pays de productionItalie
- FormatVOST
- CitationMais il dit quoi ? J’comprends rien.