L’ALBERO DELLE PERE

L’ALBERO DELLE PERE

Francesca Archibugi

0h 1min
1998
Story of L’ALBERO DELLE PERE
L'ALBERO DELLE PERE Sylvia, Massimo, Roberto, Siddharta et Domitilla. Une mère, deux pères, et deux enfants dans la Rome d'aujourd'hui. Silvia a vécu tour à tour avec, Massimo (dont elle a eu Siddharta, 14 ans) et avec Roberto, dont elle a eu Domitilla (5 ans). Silvia est fragile et instable. Maintenant, elle vit seule avec Siddharta et Roberto hésite à lui confier Domitilla. Il le fait pourtant, pendant les vacances de Noël. Abandonnée à elle-même dans l'appartement, la fillette trouve une seringue dans le sac à main de sa mère et se blesse. Siddharta s'en aperçoit et ne veut pas en parler aux adultes peu fiables. Il est seul avec sa petite sœur et son problème.     "Les trois adultes sont atteints d'infantilisme, une maladie qui frappe ma génération, marquée par le mythe de la jeunesse. De nos jours, ne pas devenir adulte, être irresponsable vis-à-vis des êtres et des choses, semble très positif à beaucoup de monde. - Faire jouer des enfants très jeunes ne vous pose pas quelques problèmes ? - Naturellement, mais ce sont toujours eux qui sont prioritaires. Travailler avec une fillette de quatre ans et demie n'a pas été facile, il fallait toujours transformer tout en jeu, mais toute la troupe m'a aidée. Niccolo Senni, qui joue Siddharta, a été quasiment co -scénariste. Nous avons revu le scénario ensemble une réplique après l'autre. Je suis toujours disposée à réécrire les dialogues, jusqu'à la dernière minute. Je ne respecte que la structure narrative, généralement très stricte." Propos recueillis par Maria Pia FUSCO, la Repubblica, 23 août 1998   "Francesca ARCHIBUGI sait merveilleusement raconter l'univers du quotidien, le langage et les lieux des gens ordinaires : le supermarché, l'école, l'obscurité des intérieurs les après - midi d'hiver, les révoltes des enfants, soudaines mais indolentes ("Si tu ne veux pas qu'on grandisse pourquoi tu nous as faits ?"), l'indulgence que les adultes ont vis-à-vis d'eux même ("On était jeunes..."), la lassitude des vies pleines de soucis, inquiètes dès l'enfance." Lietta TORNABUONI, La Stampa, 5 septembre 1998
    • L'ALBERO DELLE PERE

      Sylvia, Massimo, Roberto, Siddharta et Domitilla. Une mère, deux pères, et deux enfants dans la Rome d'aujourd'hui. Silvia a vécu tour à tour avec, Massimo (dont elle a eu Siddharta, 14 ans) et avec Roberto, dont elle a eu Domitilla (5 ans). Silvia est fragile et instable. Maintenant, elle vit seule avec Siddharta et Roberto hésite à lui confier Domitilla. Il le fait pourtant, pendant les vacances de Noël. Abandonnée à elle-même dans l'appartement, la fillette trouve une seringue dans le sac à main de sa mère et se blesse. Siddharta s'en aperçoit et ne veut pas en parler aux adultes peu fiables. Il est seul avec sa petite sœur et son problème.

       

       

      "Les trois adultes sont atteints d'infantilisme, une maladie qui frappe ma génération, marquée par le mythe de la jeunesse. De nos jours, ne pas devenir adulte, être irresponsable vis-à-vis des êtres et des choses, semble très positif à beaucoup de monde.

      - Faire jouer des enfants très jeunes ne vous pose pas quelques problèmes ?

      - Naturellement, mais ce sont toujours eux qui sont prioritaires. Travailler avec une fillette de quatre ans et demie n'a pas été facile, il fallait toujours transformer tout en jeu, mais toute la troupe m'a aidée. Niccolo Senni, qui joue Siddharta, a été quasiment co -scénariste. Nous avons revu le scénario ensemble une réplique après l'autre. Je suis toujours disposée à réécrire les dialogues, jusqu'à la dernière minute. Je ne respecte que la structure narrative, généralement très stricte."

      Propos recueillis par Maria Pia FUSCO, la Repubblica, 23 août 1998

       

      "Francesca ARCHIBUGI sait merveilleusement raconter l'univers du quotidien, le langage et les lieux des gens ordinaires : le supermarché, l'école, l'obscurité des intérieurs les après - midi d'hiver, les révoltes des enfants, soudaines mais indolentes ("Si tu ne veux pas qu'on grandisse pourquoi tu nous as faits ?"), l'indulgence que les adultes ont vis-à-vis d'eux même ("On était jeunes..."), la lassitude des vies pleines de soucis, inquiètes dès l'enfance."

      Lietta TORNABUONI, La Stampa, 5 septembre 1998

    • Réalisation
      Francesca Archibugi
    • Scénario
      Francesca Archibugi
    • Image
      Luca Biggazzi
    • Montage
      Esmeralda Calabria
    • Musique
      Battista Lena
    • Producteur (s)
      Leo Pescarolo, Guido De Laurentiis
    • Productions
      Dania Film, 3 EMME Cinématografica, Istituto Luce, Rai Cinemafiction en collaboration avec Téléplus
    • Vente à l’étranger
      Rai Trade
    • Interprètes
      Valeria Golino, Sergio Ruini. Stefano Dionisi. Niccolo Senni, Chiara Noschese, Francesco Di Giovanni. Victor Cavallo
    • Année
      1998
    • Durée
      1h 30
    • Pays de production
      Italie
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