LE CONFESSIONI

LES CONFESSIONS

Roberto Andò

Story of LE CONFESSIONI
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Quelque part en Allemagne dans un hôtel de luxe, se tient une réunion extraordinaire à huis clos à laquelle assistent les principaux ministres de l’économie du G8, ainsi que le directeur du FMI Daniel Roché (Daniel Auteuil).  Parmi eux, trois invités un peu particuliers : une écrivaine pour enfants à succès, une rock star et un moine italien, Roberto Salus (Toni Servillo). Alors que la réunion prend bonne tournure pour adopter une manœuvre secrète, Roché est retrouvé mort après s’être confessé au moine qui est de ce fait le coupable idéal. Salus est à la fois prisonnier et protégé par le secret de la confession. Les politiciens vacillent les uns après les autres dans ce climat de doutes et de crainte.

   

« À partir du choix du lieu, j’ai essayé de rendre l’aspect intime et fuyant du pouvoir. J’ai cherché un lieu où l’extérieur et l’intérieur se confondent. Un lieu qui, malgré lui, offre du suspense, où il peut arriver quelque chose de moralement révélateur. Un pouvoir qui s’isole, qui ne communique pas, est nécessairement métaphysique, il l’est malgré lui. De fait, dans le film se confrontent deux idées du secret : celle innommable et arbitraire du pouvoir économique, et puis celle qui, à travers le secret, défend le droit humain à se défendre. C’est le lieu de notre liberté : l’espace de la conscience. En ce sens la confession est une institution de l’Église très précieuse parce qu’elle protège la dignité de la personne, elle est son immunité. »

Roberto Andò, Dossier de presse

 

Roberto Andò est sicilien. Il a eu comme mentor Leonardo Sciascia qui l’a poussé à écrire et l’a introduit dans le monde du journalisme puis du cinéma. Il devient metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur. En 2013 il reçoit le prix David di Donatello pour le meilleur scénario avec Viva la libertà. Depuis 2014 il dirige la section documentaire au Centro sperimentale di cinematografia de Rome.

    • LE CONFESSIONI

      LES CONFESSIONS

      Quelque part en Allemagne dans un hôtel de luxe, se tient une réunion extraordinaire à huis clos à laquelle assistent les principaux ministres de l’économie du G8, ainsi que le directeur du FMI Daniel Roché (Daniel Auteuil).  Parmi eux, trois invités un peu particuliers : une écrivaine pour enfants à succès, une rock star et un moine italien, Roberto Salus (Toni Servillo). Alors que la réunion prend bonne tournure pour adopter une manœuvre secrète, Roché est retrouvé mort après s’être confessé au moine qui est de ce fait le coupable idéal. Salus est à la fois prisonnier et protégé par le secret de la confession. Les politiciens vacillent les uns après les autres dans ce climat de doutes et de crainte.

       

       

      « À partir du choix du lieu, j’ai essayé de rendre l’aspect intime et fuyant du pouvoir. J’ai cherché un lieu où l’extérieur et l’intérieur se confondent. Un lieu qui, malgré lui, offre du suspense, où il peut arriver quelque chose de moralement révélateur. Un pouvoir qui s’isole, qui ne communique pas, est nécessairement métaphysique, il l’est malgré lui. De fait, dans le film se confrontent deux idées du secret : celle innommable et arbitraire du pouvoir économique, et puis celle qui, à travers le secret, défend le droit humain à se défendre. C’est le lieu de notre liberté : l’espace de la conscience. En ce sens la confession est une institution de l’Église très précieuse parce qu’elle protège la dignité de la personne, elle est son immunité. »

      Roberto Andò, Dossier de presse

       

      Roberto Andò est sicilien. Il a eu comme mentor Leonardo Sciascia qui l’a poussé à écrire et l’a introduit dans le monde du journalisme puis du cinéma. Il devient metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur. En 2013 il reçoit le prix David di Donatello pour le meilleur scénario avec Viva la libertà. Depuis 2014 il dirige la section documentaire au Centro sperimentale di cinematografia de Rome.

    • Réalisation
      Roberto Andò
    • Scénario
      Roberto Andò, Angelo Pasquini
    • Image
      Maurizio Calvesi
    • Montage
      Clelio Benevento
    • Musique
      Nicola Piovani
    • Producteur (s)
      Angelo Barbagallo, Fabio Conversi
    • Productions
      Bibi Film, Barbary Films, Rai Cinema, avec la participation de Ifitalia, Black Rock, Patrizio SRL, Canal+, Cine+ et du MiBACT
    • Distribution France
      Bellissima Films
    • Interprètes
      Toni Servillo, Connie Nielson, Pierfrancesco Favino, Marie-Josée Croze, Moritz Bleibtreu, Richard Sammel, Johan Heldenberg, Lambert Wilson, Daniel Auteuil
    • Année
      2016
    • Durée
      1h 40
    • Pays de production
      Italie, France
    • Format
      VOST
    • Citation
      La démocratie est un mensonge. Les parlements sont dirigés par des êtres morts.
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