L’UOMO DELLE STELLE

L’UOMO DELLE STELLE

MARCHAND DE RÊVES

Giuseppe Tornatore

0h 1min
1995
Story of L’UOMO DELLE STELLE
L'UOMO DELLE STELLE MARCHAND DE RÊVES En 1953, un dénommé Joe MORELLI par­court la Sicile, en particulier les petits vil­lages, à la recherche de talents nouveaux pour Cinecittà. A ces paysans pauvres, il fait miroiter une brillante carrière d'acteur, l'argent, la gloire... Devant la caméra de Joe, les aspirants-acteurs essaient de jouer, en imitant ce qu'ils ont vu au ciné­ma, mais leur spontanéité prend le des­sus et ils racontent leur vie. Ils racontent des histoires tour à tour comiques, tragiques, pathétiques, des fautes, des violences, des drames ignorés de tous. Ils racontent la Sicile, son isolement, son besoin impérieux de rédemption et de dignité. De cette galerie de portraits émerge tout à coup la jeune Beata qui pourrait bien changer la vie de loe. A son contact, " l'homme des étoiles " prend conscience que, comme les Siciliens, il est seul, incompris, vaincu, II n'est capable que de rêver.   TORNATORE est revenu, avec cet " Homme des étoiles ", au lyrisme de " Cinéma Paradisio ". C'est un peu long et vraiment " fabriqué sur la fin. Mais le début - les Siciliens jouant chacun à leur façon, un extrait de " Autant en emporte le vent " en guise de test - est irrésistible. Et puis, peu à peu, la gra­vité surgit. Car au lieu d'interpréter Scarlett O'Hara et Rhett Butler, c'est tout simplement leur vie qu'évoquent, en phases maladroites, les " futures vedettes " de Morelli. Leurs rêves. Leurs désillusions. Le destin d'un pays pauvre et incompris : la Sicile. Là, on retrouve le TORNATORE qu'on aime : avec une vraie tendresse, il filme des regards où, quelques instants seulement, brillent des étoiles. Il filme le vide envahi par la vie. Pierre Murat, Télérama, 20 septembre 1995
    • L'UOMO DELLE STELLE

      MARCHAND DE RÊVES

      En 1953, un dénommé Joe MORELLI par­court la Sicile, en particulier les petits vil­lages, à la recherche de talents nouveaux pour Cinecittà. A ces paysans pauvres, il fait miroiter une brillante carrière d'acteur, l'argent, la gloire... Devant la caméra de Joe, les aspirants-acteurs essaient de jouer, en imitant ce qu'ils ont vu au ciné­ma, mais leur spontanéité prend le des­sus et ils racontent leur vie. Ils racontent des histoires tour à tour comiques, tragiques, pathétiques, des fautes, des violences, des drames ignorés de tous. Ils racontent la Sicile, son isolement, son besoin impérieux de rédemption et de dignité.

      De cette galerie de portraits émerge tout à coup la jeune Beata qui pourrait bien changer la vie de loe. A son contact, " l'homme des étoiles " prend conscience que, comme les Siciliens, il est seul, incompris, vaincu, II n'est capable que de rêver.

       

      TORNATORE est revenu, avec cet " Homme des étoiles ", au lyrisme de " Cinéma Paradisio ". C'est un peu long et vraiment " fabriqué sur la fin. Mais le début - les Siciliens jouant chacun à leur façon, un extrait de " Autant en emporte le vent " en guise de test - est irrésistible. Et puis, peu à peu, la gra­vité surgit. Car au lieu d'interpréter Scarlett O'Hara et Rhett Butler, c'est tout simplement leur vie qu'évoquent, en phases maladroites, les " futures vedettes " de Morelli. Leurs rêves. Leurs désillusions. Le destin d'un pays pauvre et incompris : la Sicile. Là, on retrouve le TORNATORE qu'on aime : avec une vraie tendresse, il filme des regards où, quelques instants seulement, brillent des étoiles. Il filme le vide envahi par la vie.

      Pierre Murat, Télérama, 20 septembre 1995

    • Réalisation
      Giuseppe Tornatore
    • Scénario
      Giuseppe Tornatore Fabio Rinaudo
    • Image
      Dante Spinotti
    • Montage
      Massimo Quaglia
    • Musique
      Ennio Morricone
    • Producteur (s)
      Vittorio et Rita Cecchi Gori
    • Productions
      Cecchi Gori Group Tiger Cinematografia, RAI
    • Distribution France
      Les films de l'Astre
    • Interprètes
      Sergio Castellito, Tiziana Lodato, Clelia Rondinella, Jane Alexander, Tony Sperandeo, Léo Gullotta, Franco Scaldati, Leopoldo Trieste
    • Année
      1995
    • Durée
      1h 50
    • Pays de production
      Italie
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