Story of NOTTE PRIMA DEGLI ESAMI
NOTTE PRIMA DEGLI ESAMI
Rome, juin 1989. Dernière journée de classe avant les épreuves du baccalauréat. Luca et ses amis vont commencer leurs révisions mais les deux semaines qui précédent les examens se révèlent pleines d’incroyables aventures.
Luca, éternel gaffeur, décide de se venger du Professeur de lettres, Monsieur Martinelli, surnommé « la Charogne ». Il lui crache à la figure toute une série d’insultes et l’accuse même d’avoir gâché les cinq dernières années de sa vie. Mais à peine a-t-il terminé de parler que Martinelli l’informe que contrairement à ce qui était prévu, il sera membre du jury aux oraux et aura donc le plaisir de l’interroger. Luca doit tenter de se racheter avant le jour fatidique.
Entre temps, à une fête, Luca fait une rencontre fugace : une jeune fille dont il tombe éperdument amoureux. Elle est malheureusement accompagnée par Cesare, un mufle rébarbatif dans un beau corps d’athlète. Toutefois, Luca ne se décourage pas. Il tente par tous les moyens de la retrouver avec pour seule information son prénom, Claudia.
Luca passe son temps entre ses amis avec lesquels il s’amuse plus qu’il n’étudie et ses séances de révisions chez Monsieur Martinelli, le prof tant détesté. Grâce à Alice, sa meilleure amie, Luca découvre que Monsieur Martinelli a une fille…
« Il aurait fallu que nous disposions d’une semaine de tournage supplémentaire et le film aurait atteint une qualité visuelle bien supérieure. Cependant je suis convaincu que la réussite d’une comédie tient à la qualité du scénario et du jeu des comédiens. Le reste, c’est un plus. Je n’ai pas cru bon de faire de grands mouvements de caméra lorsque la scène ne l’exigeait pas. Je ne supporte pas que pendant que deux personnages sont en train de parler assis à une table, qu’ils ont des répliques importantes, comiques, la caméra se mette à minauder en tournoyant inutilement autour d’eux.
Je crois que raconter une histoire, particulièrement une comédie, exige que l’on s’attache aux comédiens et à la narration. Si la virtuosités prend le dessus, dans les raccords, par exemple, je crois que le spectateur finit par se détacher de l’histoire. »
Interview à Fausto Brizzi, Script n° 40/41, juin 2006.
- RéalisationFausto Brizzi
- ScénarioFausto Brizzi, Marco Martani, Massimiliano Bruno
- ImageMarcello Montarsi
- MontageLuciana Pandolfelli
- MusiqueAntonello Venditti
- Producteur (s)Fulvio et Federica Lucisano, Gianandrea Pecorelli
- ProductionsI.I.F. Italian International Film, Rai Cinema, avec la contribution du MiBAC, Aurora film
- InterprètesCristiana Capotondi, Giorgio Faletti, Sarah Maestri, Nicolas Vaporidis, Andrea De Rosa, Eros Galbiati
- Année2006
- Durée1h 40
- Pays de productionItalie