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ORA E PER SEMPRE

0h 1min
2023
Story of ORA E PER SEMPRE
ORA E PER SEMPRE Sur toute cette histoire plane l'ombre de la catastrophe aérienne de Superga, le 4 mai 1949, dans laquelle disparut l'équipe de football légendaire du Torino. Michael Satten, un vieux monsieur anglais très distingué, arrive à Turin. Un gamin qui porte le maillot grenat de l'équipe du Torino le ramène au printemps 1949, lorsqu'il avait été envoyé à Turin par la Fédération anglaise de football pour organiser un match amical entre l'équipe d'Angleterre et cette équipe mythique qu'était le Torino d'alors. Les Anglais se considèrent les maîtres du foot­ball mondial et ils tolèrent mal que leur supré­matie soit contestée, de plus par une équipe d'un pays vaincu et responsable de la guerre. Quelque part dans Turin, un autre vieux monsieur est en train de mourir. Il confie à son fils Valentino une mission particulière. Il devrait retrouver la trom­pette du supporter qui, depuis les gradins du vieux stade, sonnait la charge lors des matchs du Torino. Valentino a souvent entendu son père lui parler de cette trompette, aussi mythique que l'équipe elle-même. Valentino, qui ne s'est jamais intéressé au football, décide de réaliser sa dernière volonté. En 1949, Michael avait occasionnellement fait la connaissance du supporter à la trompette, un jeune ouvrier, et il comptait sur lui pour entrer en relation avec le Club. Il devrait faire vite, car l'équipe doit s'envoler pour Lisbonne où elle doit disputer un match amical. Lors d'une rencontre, il lui présente Sally, une jeune enseignante anglaise dont il est amoureux. Entre les deux jeunes gens si différents quelque chose se noue qui fait enrager Michael et retarde les tractations. Valentino, plus de cinquante ans après, ne sait vraiment pas par où commen­cer sa quête. Il rencontre un vieux journaliste sportif qui l'introduit dans le milieu très fermé des nostalgiques du grand Torino. L'équipe du Torino doit arriver sous peu de Lisbonne, et la tension entre Michael et son rival est sur le point de dégénérer lorsqu'on entend un grand bruit. Un avion vient de s'écraser sur la colline de Superga... Valentino découvre peu à peu une époque dont il ignorait tout. Son intérêt nouveau pour le football lui permet aussi de renouer avec son fils Andréa, grand supporter du Torino d'aujourd'hui.   «Cette histoire m'a ramené en arrière dans le temps, dans des lieux très secrets de ma mémoire où je conservais les caresses de ma mère. Le souve­nir des caresses maternelles, de leur douce chaleur, de la sensation de sécuri­té et de l'amour qu'elles transmettaient, est probablement la cause première de la nostalgie qui nous gagne à partir de l'adolescence. Il est des histoires qu'on invente, il en est d'autres qui vous trouvent. J'ai compris ce qu'avaient dû éprouver les supporters du Torino en apprenant la mort de leurs héros sur la colline de Superga, réalisant tout à coup qu'ils n'auraient plus droit à la caresse qui tous les dimanches leur redonnait le sou­rire. Leur douleur a dû être très forte, mais moins sans doute que l'envie de se souvenir. Car la douleur présente est la preuve intangible du bonheur passé et marque l'espoir en un bonheur encore possible. » Vincenzo Verdecchi
    • ORA E PER SEMPRE

      Sur toute cette histoire plane l'ombre de la catastrophe aérienne de Superga, le 4 mai 1949, dans laquelle disparut l'équipe de football légendaire du Torino.

      Michael Satten, un vieux monsieur anglais très distingué, arrive à Turin. Un gamin qui porte le maillot grenat de l'équipe du Torino le ramène au printemps 1949, lorsqu'il avait été envoyé à Turin par la Fédération anglaise de football pour organiser un match amical entre l'équipe d'Angleterre et cette équipe mythique qu'était le Torino d'alors. Les Anglais se considèrent les maîtres du foot­ball mondial et ils tolèrent mal que leur supré­matie soit contestée, de plus par une équipe d'un pays vaincu et responsable de la guerre.

      Quelque part dans Turin, un autre vieux monsieur est en train de mourir. Il confie à son fils Valentino une mission particulière. Il devrait retrouver la trom­pette du supporter qui, depuis les gradins du vieux stade, sonnait la charge lors des matchs du Torino. Valentino a souvent entendu son père lui parler de cette trompette, aussi mythique que l'équipe elle-même. Valentino, qui ne s'est jamais intéressé au football, décide de réaliser sa dernière volonté.

      En 1949, Michael avait occasionnellement fait la connaissance du supporter à la trompette, un jeune ouvrier, et il comptait sur lui pour entrer en relation avec le Club. Il devrait faire vite, car l'équipe doit s'envoler pour Lisbonne où elle doit disputer un match amical. Lors d'une rencontre, il lui présente Sally, une jeune enseignante anglaise dont il est amoureux. Entre les deux jeunes gens si différents quelque chose se noue qui fait enrager Michael et retarde les tractations.

      Valentino, plus de cinquante ans après, ne sait vraiment pas par où commen­cer sa quête. Il rencontre un vieux journaliste sportif qui l'introduit dans le milieu très fermé des nostalgiques du grand Torino.

      L'équipe du Torino doit arriver sous peu de Lisbonne, et la tension entre Michael et son rival est sur le point de dégénérer lorsqu'on entend un grand bruit. Un avion vient de s'écraser sur la colline de Superga...

      Valentino découvre peu à peu une époque dont il ignorait tout. Son intérêt nouveau pour le football lui permet aussi de renouer avec son fils Andréa, grand supporter du Torino d'aujourd'hui.

       

      «Cette histoire m'a ramené en arrière dans le temps, dans des lieux très secrets de ma mémoire où je conservais les caresses de ma mère. Le souve­nir des caresses maternelles, de leur douce chaleur, de la sensation de sécuri­té et de l'amour qu'elles transmettaient, est probablement la cause première de la nostalgie qui nous gagne à partir de l'adolescence. Il est des histoires qu'on invente, il en est d'autres qui vous trouvent. J'ai compris ce qu'avaient dû éprouver les supporters du Torino en apprenant la mort de leurs héros sur la colline de Superga, réalisant tout à coup qu'ils n'auraient plus droit à la caresse qui tous les dimanches leur redonnait le sou­rire. Leur douleur a dû être très forte, mais moins sans doute que l'envie de se souvenir. Car la douleur présente est la preuve intangible du bonheur passé et marque l'espoir en un bonheur encore possible. »

      Vincenzo Verdecchi

    • Réalisation
      Vincenzo Verdecchi
    • Scénario
      Carmelo Pennisi, Massimiliano Durante
    • Image
      Marco Onorato
    • Montage
      Gianluca Quarto
    • Musique
      Stefano Di Battista
    • Productions
      Veradia Film, Misami Film
    • Vente à l’étranger
      Verdecchifilm
    • Interprètes
      Kasia Smutniak, Gioele Dix, Giorgio Albertazzi, Dino Abbrescia, Luciano Scarpa, Felice Andreasi, Enrico Ciotti, Anna Stante, Antonio Serrano
    • Année
      2004
    • Durée
      1h 48
    • Pays de production
      Italie
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